Les enquêtes de Roderick Alleyn : Le rideau tombe (Le Portrait défiguré)

Un homme qui est capable de poser pendant une heure avec un casque de plus de cinquante kilos sur la tête ne doit pas avoir beaucoup de problèmes.

Ce n’est pas parce qu’il est impossible de savoir ce qu’elle pense, qu’elle a forcément songé au meurtre.

Cela doit faire un drôle d’effet de se retrouver à la campagne, quand on est habituée aux briques et à l’asphalte.

Si on ne prend pas soin de soi dans ce monde, personne ne le fera.

Elle avait décidé de reporter son esquisse directement sur la grande toile. Il n’y aurait plus d’études préliminaires. Le temps lui était compté, et, de toute façon, elle savait déjà ce qu’elle voulait faire. C’est un moment unique dans l’existence, pensa-t-elle, lorsqu’on se tient devant une surface blanche et tendue et qu’on lève la main pour y apposer la première touche.

Nous sommes tous terriblement inquiets. Ce n’est pas ce qui se passe, mais ce qui peut se passer, qui est affolant.