Ce thriller anglais aux allures suédoises m'a plu dans le dynamisme du récit : les questions et les rebondissements s'enchaînent avec entrain. La fin était particulièrement succulente, car elle ne semblait jamais vouloir s'arrêter.
Angela Marsons prend plaisir à jouer avec les nerfs de ses lecteurs, et tant mieux ! le dynamisme venait aussi de la confession, entremêlée au récit, du meurtrier, sans que l'on sache, bien évidemment, son identité, et cela le rendait judicieusement diabolique. C'est ce schéma narratif qui m'a, bien sûr, fait penser aux romans de
Camilla Lackberg.
En définitive, j'ai eu un peu de mal à rentrer dedans, peut-être à cause du côté bourru de Kim, je ne sais pas, mais au fur et à mesure, le roman devient vraiment haletant et il est difficile de le lâcher !
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