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Critique de BazaR
Mince, je ne m'attendais pas à ça !
Avec la description de cette chasse aux volcryns, ces êtres qui se déplacent depuis des éons depuis le centre de la Galaxie vers sa périphérie, je m'attendais à du grandiose, du « je vais en prendre plein les mirettes », des trucs de ouf qu'on trouve par exemple dans le cycle du Centre Galactique de Gregory Benford (en moins hard science).
Bon j'avais bien lu quelques bouts de critiques qui annonçait un truc plus horreur mais, bizarrement, j'ai occulté le truc.
Ben les critiques ne mentaient pas.
En fait on se retrouve à bord du vaisseau Armageddon, dans un huis-clos infernal. le récit tient autant d'Alien que de Amityville, avec un soupçon de 2001 et de Shining.
Bref, gulp !
Attention, cependant ! Même si j'ai tapé à côté de mon attendu, je ne me suis pas ennuyé une seconde. George R.R. Martin mène le jeu avec maestria. Il manie le suspense comme dans un vrai thriller angoissant, avec une montée progressive de l'inquiétude chez les membres de l'expédition ; depuis les soupçons envers le capitaine de bord, savamment entretenus par le secret que celui-ci souhaite maintenir autour de sa personne et de son vaisseau, jusqu'à la décharge instantanée de violence et d‘émotion qui fait risquer la crise cardiaque au lecteur. Les paranoïaques de l'équipe ne sont pas faits pour simplifier les choses.
C'est vraiment très visuel, et cadencé comme un film à frissons.
Quant aux volcryns, ma foi, ils ne sont pas complètement absents de l'affaire.
Ce n'est pas long et ça vaut la peine d'y aller faire un tour, pour les curieux, sauf si vous fuyez les films d'épouvante.
Avec la description de cette chasse aux volcryns, ces êtres qui se déplacent depuis des éons depuis le centre de la Galaxie vers sa périphérie, je m'attendais à du grandiose, du « je vais en prendre plein les mirettes », des trucs de ouf qu'on trouve par exemple dans le cycle du Centre Galactique de Gregory Benford (en moins hard science).
Bon j'avais bien lu quelques bouts de critiques qui annonçait un truc plus horreur mais, bizarrement, j'ai occulté le truc.
Ben les critiques ne mentaient pas.
En fait on se retrouve à bord du vaisseau Armageddon, dans un huis-clos infernal. le récit tient autant d'Alien que de Amityville, avec un soupçon de 2001 et de Shining.
Bref, gulp !
Attention, cependant ! Même si j'ai tapé à côté de mon attendu, je ne me suis pas ennuyé une seconde. George R.R. Martin mène le jeu avec maestria. Il manie le suspense comme dans un vrai thriller angoissant, avec une montée progressive de l'inquiétude chez les membres de l'expédition ; depuis les soupçons envers le capitaine de bord, savamment entretenus par le secret que celui-ci souhaite maintenir autour de sa personne et de son vaisseau, jusqu'à la décharge instantanée de violence et d‘émotion qui fait risquer la crise cardiaque au lecteur. Les paranoïaques de l'équipe ne sont pas faits pour simplifier les choses.
C'est vraiment très visuel, et cadencé comme un film à frissons.
Quant aux volcryns, ma foi, ils ne sont pas complètement absents de l'affaire.
Ce n'est pas long et ça vaut la peine d'y aller faire un tour, pour les curieux, sauf si vous fuyez les films d'épouvante.
