Citations sur Une enquête de Loveday & Ryder, tome 3 : Meurtre en cou.. (17)
Il remarqua que les Dunbar ne s'assirent pas côte à côte, mais chacun à un bout de la longue rangée de tables - comme deux serre-livres désapprobateurs.
S'il en croyait son expérience, les mères connaissaient bien mieux leurs filles que les pères.
Ce n'est pas comme dans les films ou les polars où tout est bien ficelé à la fin. La vraie vie est bien plus chaotique.
Quand l’appât du gain entre en jeu, les bons sentiments sont vite jetés aux oubliettes.
Et pourquoi tue-t-on ?
- Les mobiles habituels sont l'amour, la vengeance et l'autodéfense.
Elle (...) prit une petite gorgée de Liedfraumilch (en se sentant coupable ) et découvrit que ça ne lui plaisait pas particulièrement ! Le goût lui rappelait de la limonade aigre et elle se demanda pourquoi les gens aimaient autant l'alcool.
Cependant, il était indéniable que Robert aimait les jolies femmes. Et passe la cinquantaine... eh bien, les hommes devenaient souvent un peu idiots.
Il ne s'était jamais particulièrement soucie de ce que les gens pensaient de lui - à quelques notables exceptions près - et il n'avait pas l'intention de commencer maintenant ! Il but une gorgée et renifla. Pourtant, avec les Loveday... Il ne s'en fichait pas.
La presse était capable de tout, comme d'inventer des histoires à dormir debout pour vendre plus de journaux. Il n'y avait qu'à voir la légende de la "malédiction du pharaon" échafaudée par les journalistes quand Howard Carter avait découvert la momie de Toutankhamon!
Après tout, bien des femmes de son milieu devaient composer avec des époux infidèles, surtout s'ils étaient riches, puissants et éminents. Les hommes étaient comme ça. Tant qu'ils faisaient preuve de discrétion, cela permettait à tous de faire comme si de rien n'était. Et elle devait admettre que Robert était toujours particulièrement prudent. C'était la moindre des choses !