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Critique de TelKines


On est toujours en plein combat.
Et rien de tel que de commencer par la suite du meilleur combat contre l'un des quatre éléments : Grey contre Jubia. Il est clair que ce personnage est le mieux travaillé des quatre. Rien de plus logique quand on sait ce qu'elle va devenir. Il y a une certaine classe, de la folie aussi, de la passion également. Juste fun donc.
Alors que le combat suivant contre l'élément de l'air est d'une tristesse sans nom ! Natsu tente de le combattre sans réussite jusqu'à ce que Erza arrive, pourtant encore blessée. Et comme on le sait, Erza est forte et elle le prouve : elle va tout défoncer en moins de deux secondes ! Au moins les souffrances de l'adversaire (et celles du lecteur) sont assez vite abrégées !
Ses quatre éléments étant alors hors d'état de nuire, José, le maître de Phantom Lord, sort les crocs. Il laisse également ressortir sa folie et sa haine envers la guilde de Makarof. Et on apprend que c'est juste un méchant avide de reconnaissance et de pouvoir. Méchant somme toute assez classique. Dans un premier temps, José va combattre Erza qui donne le meilleur d'elle-même pour limiter les dégâts jusqu'à l'arrivée surprise d'un revenant : Makarof himself ! Et oui le petiot maître a subitement guéri et retrouvé sa magie grâce à Polyussica et à l'énigmatique et étrange Mist-Gun. Makarof, ayant vu sa guilde s'effondrer et ses « enfants » combattre même dans un sale état, va tout simplement déclencher son plus puissant (?) pouvoir : la Loi des Fées ! Avec quel effet ? le mystérieux résultat ne sera visible que dans le prochain tome.
Mais s'il y a une chose à retenir, c'est le combat des deux dragons. Gajil et Natsu vont dévoiler une partie de l'étendue de leurs forces. Gajil est d'ailleurs un bon buté de bourrin sadique et violent ! Et ça fait plaisir de voir ça !

Donc un bon tome dans la lignée du précédent.
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