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Critique de Lectures_du_soir


Ici, nous allons suivre Valentine, qui privilégie sa carrière plutôt que sa fille. Bouh c'est mal ! Premier tacle pour les mamans qui bossent.
Mais tout va bien, elle a une nounou, Fatima. Parce que Valentine est bourgeoise, avoir une nounou qui fait des makrout ça fait bien. Et puis comme c'est une autre famille qui lui refile, c'est encore mieux.
Tout ça est très cliché, toujours dans l'extrême, MAIS, entrecoupé de citations de Maria Montessori (très à la mode, Maria) et à un moment, je pense que l'autrice à oublié la notion de nuance.
À mon sens, il vaut mieux une mère qui travaille comme une dingue et laisse sa fille être élevée par une nounou qui lui apporte toute l'attention dont elle a besoin, plutôt qu'une mère qui sacrifie sa carrière et va le lui faire payer toute sa vie, par exemple.
Tout comme, la plupart du temps, ça n'est pas un choix, et tout le monde ne peux pas rester à la maison avec son enfant, parce qu'il doit aller travailler, tout simplement.
Les événements s'enchaînent, la petite se rebelle et traverse tout paris pour rejoindre sa nounou (plus d'une heure de trajet, qu'elle fait seule, à 8ans...), la mère fini par être licenciée et, ô, miracle, elle se rend compte qu'en fait, elle aime sa fille.
Sans oublier le fait que, puisque sa propre mère a été maltraitante, alors forcément, Valentine le devient aussi.
Je suis pour rester avec ses enfants à la maison, pour la méthode Montessori, pour retourner au travail, pour n'avoir comme seule méthode... de ne pas en avoir, je suis pour changer d'avis et d'envies. Mais plus que tout, je suis pour que les mamans puissent faire comme elles peuvent, et comme elles veulent. Et ça, c'est pas gagné !
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