Mon chien stupide , comme d'autres roman de Fante recèle, au premier abord, violence et vulgarité. Mais, dès que l'on étudie un peu l'univers de Fante, on accroche et ce que j'aime plus que tout, c'est que l'on ressent les tripes de l'auteur. Ce fils d'immigrés donne le là d'une Amérique qui n'a souvent rien à voir avec le rêve américain.
Bandini et
la route de Los Angeles m'avaient enthousiasmé, ce roman aussi. Il faut lire
John Fante pour voir, quand on ne le sait pas, à quel point l'enfance laisse des traces indélébiles sur les adultes.
Commenter  J’apprécie         30