Luisa a 15 ans en 1995, lorsqu'un jour, en rentrant chez elle, le bus la dépose en 2013 au pied de l'immeuble où la Luisa aigrie de 33 ans vit. La rencontre entre les deux jeunes femmes va les amener à découvrir des choses qu'elles ignoraient l'une et l'autre d'elles-mêmes.
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Une lecture sympathique avec de jolis messages sur la tolérance. La quête d'identité est au centre du sujet, et j'ai beaucoup aimé le fait que la « petite » Luisa en apprenne autant à la « grande » Luisa que la « grande » à la « petite ».
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Il y a quelques longueurs et l'intrigue est prévisible, mais les dessins sont doux et agréables, alors cela reste un plaisir pour les yeux.
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Je regrette toutefois le cliché qui énonce que la vie sans compagne/compagnon est forcément une vie malheureuse 🙄
J'ai détesté le meilleur ami de la grande Luisa qui lui répète sans cesse « qu'elle ne sait pas garder un homme ». Cette accusation, ne semble pas être dénoncée par l'auteure, ni par ses protagonistes, et c'est bien dommage pour une BD qui aborde la tolérance.
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J'ai malgré tout passé un bon moment car l'ensemble de l'histoire rattrape ce petit couac. Ouf ! La morale est sauve 😮
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