Mauriac disait que ce n'était pas la suite de
Thérèse Desqueyroux, on y retrouve néanmoins cette Thérèse, passionnée, désabusée, enfermée dans sa solitude et un quotidien banal. Mauriac lui donne une dimension psychologique et littéraire d'envergure ce qui en fait un très bon roman, typiquement mauriacien.
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