C'est après avoir vu la pièce de théâtre mise en scène par Michel Raskine au théâtre des Célestins à Lyon que je viens de lire le texte de
Laurent Mauvignier, terrible et percutant qui sublime ce "fait divers". Je ne peux qu' encourager les lecteurs à aller voir la pièce dont on sort ému, sonné : " Lumières crues, blanches, mortelles… Dans une mise en scène chorégraphique qui échappe aux lieux communs du réalisme, "
Ce que j'appelle oubli" nous fait ressentir toute l'âpreté d'une violence aveugle et sourde, toute la brutalité d'une existence volée à la vie."
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