Le succès de
la trilogie écossaise de
Peter May a conduit son éditeur à ressortir ce polar basé sur le monde virtuel Second Life, aujourd'hui complétement oublié, et qui servait d'exutoire internet aux fantasmes les plus divers.
Peter May sait écrire, mais là, autant le dire tout net, c'est franchement mauvais. le mélange réalité – virtuel est très peu crédible, les meurtres dans le monde internet qui font écho à des assassinats dans le monde réel sont du grand n'importe quoi. May a voulu surfer sur la vague internet, mais il s'est pris de plein fouet la jetée en béton du port.
D'autant que au moment de la sortie française du livre, le phénomène Second Life était déjà complètement has been.
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