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4,17

sur 3902 notes
C' est avec plaisir que je suis retourné à Perdido , Alabama .
"La guerre" , comme les précédents se lit vite , sans aucune longueur .
Le style fluide incite à la lecture ; les pages se tournent , les chapitres défilent ...
La famille Caskey vieillit et ce tome 4 fait la part belle à la jeune génération , surtout aux filles : Lucille , fille de Queenie , Frances , Grace et Miriam , qui s'amende un peu .
Le surnaturel est toujours présent ... pas trop , juste ce qu'il faut et avec la disparition
de Mary-Love , beaucoup moins de coups fourrés !
Bientôt , le tome 5 ; j'y retrouverai avec plaisir le clan Caskey !


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On retrouve la famille Caskey en pleine guerre mondiale. Les enfants grandissent et quittent la maison.
J'ai bien aimé suivre l'évolution de Myriam avec sa famille. Je m'attendais à un crêpage de chignon vu le titre et bien au contraire, j'ai trouvé les personnages plus apaisés, plus proche.
Francès va vivre une expérience lors d'une baignade et le secret se dévoile un peu plus... À suivre..
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Après le bon cru de "La crue" ...
Après "La Digue" qui n'a pas endigué le plaisir de lire le second volume.
Après s'être demandé "Mais on va nous emmener jusqu'où" avec "La Maison"

Voici donc le temps de ce quatrième volume : "La Guerre".

Et oui le temps passe nous voilà a-guerre-is, mais guère guerre-is de notre soif de suivre la vie qui s'ecoule à Perdido.

"La guerre est finie, vive la guerre", nous voilà en 1938 dans l'entre-deux-guerres, cette période d'insouciance de l'Après-guerre et celle où déferle en ville des ouvriers pour faire tourner les usines pour préparer ce que nous connaissons, mais que nos aïeux refusaient n'a-guèrre de voir comme l'avant-guerre, et pourtant l'avenir leur donnera tort....
La guerre c'est le soldat dans sa guerre-ite :
La guerre c'est le guerre-ier blessé mais en voué on l'espère à une guerre-ison

La Perdido dont le nom ferait penser à Guerre-ro cet état du Mexique, mais nous sommes loin du soleil mexicain tant l'ambiance est sombre 
On aimerait fixer les images de cet ouvrage sur une Da-guerre-éotype
Et puis Perdido, c'est ni plus ni moins que la Vie
Au fil du temps lus uns su li-guerre-nt contre les autres,
Les uns alpa-guerre-nt les autres,
Les gué-guerre-se internes prenant de l'ampleur,
Mais les choses semblèrent par moment s'apaiser car ils dialo-guerre-nt
Sur la rivière ils navi-guerre-nt, tombèrent, se noyèrent, refirent surface
Certains quittèrent le village et bourlin-guerre-nt ou vo-guerre-nt vers d'autres horizons avant de revenir....
Les vies comme dans toute famille zigza-guerre-nt
Il y ceux qui intri-guerre-nt, ceux qui dialo-guerre-nt, ceux qui flin-guere-nt, ceux qui se fati-guerre-nt, ceux qui intri-guerre-nt, les curieux qui investi-guerre-nt en pure perte,...

L'ouvrage se termine avec ces mots de l'auteur
« IL N'Y A PAS D'AUTRE RAI­SON DE LIRE QUE LE PLAI­SIR. ON PEUT TOU­JOURS AVAN­CER QUE CE­LA PER­MET D'AP­PRENDRE DES CHOSES, MAIS AU FOND LA SEULE VRAIE RAI­SON QU'ON AIT DE LIRE EST LE PLAI­SIR, ET C'EST POUR ÇA QUE J'ÉCRIS. » MI­CHAEL MC DO­WELL
Une chose est certaine c'est que ces mots sont vrais et cela n'endi-guerre-ra pas l'envie de poursuivre cette saga, bien au contraire tant il semble poser les fondations de l'issue que l'on sent s'approcher inexorablement

Et puis 244 pages, pour autant de plaisir, il faut bien reconnaître que ce n'est guère epais, à moins qu'un ne soit guerre et paix, allez savoir...
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Lu d'une traite comme chaque livre de cette saga.
La guerre touche à sa fin, les personnages prennent de l'âge, et se bonifient. Les relations changent, il y a pas mal de rebondissements en effet dans ce tome.
La fin me donne envie d'attaquer le tome 5. (je me félicite d'avoir acheter tous les tomes avant d'en attaquer la lecture !)
Le côté mystérieux et fantastique de la saga est un peu plus présent même s'il reste assez discret, comme j'ai pu le lire dans une critique, on a besoin de réponses, car finalement au bout du 4eme tome, le mystère reste entier quant à la nature d Elinor et de sa fille Frances...

Les personnages sont vraiment bien travaillés, la chronologie aussi, on arrive bien à suivre les années qui passent, la guerre...

C'est un régal, et ces magnifiques couvertures, rien à dire, allez y !

Bonne lecture
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Je viens de terminer le quatrième volet de la série Blackwater. Il est pour l'instant celui que j'ai préféré. Je suis toujours fan des couvertures magnifiques de Monsieur Toussaint Louverture, bien sûr… et quel plaisir de retrouver finalement régulièrement cette saga et ces personnages… Dans ce quatrième volet, c'est Elinor et Oscar qui ont à présent un rôle essentiel et font office de chefs de famille. Les jeunes filles de la maison, Miriam et Frances, se préoccupent de leur avenir, tandis que la deuxième guerre mondiale fait rage en Europe. Les militaires en formation envahissent Perdido, certains s'attardent un peu plus que d'autres, auprès de la famille Caskey, très investie auprès d'eux… Frances commence à se poser des questions sur ce qu'elle est, tandis que chaque jeune adulte assume des choix de vie, parfois inattendus… Ce quatrième tome m'a semblé plus dynamique, et peut-être moins fantastique que le précédent. Comme pour le troisième volet pour autant, j'ai été de nouveau embarquée dans les déboires de la famille Caskey. Elinor est plus discrète dans ce tome. Attend-elle son heure ? Ou la relève ? le tome 5 est déjà en ma possession, à suivre…
Lien : https://leslecturesdantigone..
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L'auteur sait passionner avec du vide. Il est capable de vous tenir en haleine en vous racontant l'après-midi d'un vieux qui attend sous son porche. Et attend. Et attend encore… Il rend le rien prenant, c'est ce qui fait que la série est si addictive.

La plume de Michael McDowell est fluide, l'auteur sait manier les descriptions et en mettre la quantité parfaite dans son récit. On a l'impression de connaître la ville et chacune des maisons comme notre poche, et de pouvoir nous balader dans l'univers de l'histoire.

La série est plus profonde qu'elle n'y paraît, et met en avant des sujets de société de l'époque (du début des années 1920 aux années 1970).

Certains événements ne sont pas, à mon sens, très crédibles : tout le monde est curieux, voit des choses louches, mais se dit qu'il vaut mieux oublier et ne pas en parler. Au final, si ces personnages avaient discuté avec leur entourage, tout aurait été éclairci en un tome !

Concernant la fin de la série, bien qu'elle m'ait frustrée par le manque d'explications sur les phénomènes fantastiques, je comprends qu'elle ait été écrite de cette manière. En effet, il n'a jamais été question de faire tourner l'intégralité du récit autour des phénomènes bizarres et des créatures palmées, donc le dernier chapitre correspond bien au reste du livre.

L'auteur faisant dans le secret et les révélations discrètes durant six tomes, il n'allait pas faire une postface avec une liste à points pour répondre à toutes les questions des lecteurs et lectrices !
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je viens de finir le tome 4 de Blackwater, la guerre. Plus j'avance dans les tomes et plus je m'attache à certains personnages, j'aime ce mélange de fantastique, de saga familiale, d'amour ça ce lis si vite qu'on en redemande donc je vais me faire violence et ne pas lire de suite le tome 5 car plus que deux et ce sera la fin…

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Alors que j'avais enchaîné La Crue, La Digue puis La Maison, de longues semaines sont passées avant que je ne me décide à me plonger dans ce quatrième tome de la saga phénomène… Pourquoi cette pause ? Surtout vu mon enthousiasme… En vérité, je me trouvais à un possible tournant du récit en ayant lu la moitié de ses six opus. du coup je redoutais autant que j'espérais un virage dans la narration de monsieur McDowell.

Comme je l'ai à chaque fois souligné dans mes avis sur les trois premiers volets de Blackwater, le travail d'édition est admirable. Tant et si bien que me voilà d'ors et déjà en possession de tous les opus qui m'attendent fièrement dans ma bibliothèque. Rappelons combien il est rare que l'on puisse mettre en avant sans rougir des livres de poche… le fait de m'être pratiquement ruée dessus pour les acheter a d'ailleurs contribué à mes atermoiements. Si j'étais déçue, n'allais-je pas regretter ? Au moins le coût tout à fait raisonnable de chaque bouquin me rassurait un peu…

Sincèrement j'ai pris beaucoup de plaisir à retrouver la famille Caskey et, surtout, de continuer à voir évoluer et grandir les deux filles d'Elinor, Grace et Frances… Tu sens venir les « mais » ami-lecteur ? Normal, il fallait bien que la saga s'essouffle… Alors que La Maison nous offrait des moments intenses avec, entre autres, la mort d'un des personnages importants, j'imaginais que La Guerre marquerait un tournant. Sauf que nan… On retrouve les mêmes recettes que dans les trois premier opus : la routine, les liens familiaux, l'atmosphère parfois pesante et le surnaturel qui surgit de plus en plus régulièrement dans le récit avant une fin où le fantastique est au premier plan. C'est sympa, bien écrit, mais c'est quasiment devenu la routine. Bien entendu je ne peux pas dire que cet « épisode » est mauvais. Pas du tout… D'ailleurs il est compliqué de juger de sa pertinence sans savoir où le récit finira par nous conduire. Toutefois, avec cette pointe de lassitude, j'avoue que la qualité des deux derniers tomes sera décisive.

Si La Guerre n'est pas allé jusqu'à me décevoir, ma lecture s'est révélée presque trop confortable, avec les mêmes ingrédients, la même qualité, la même ambiance. Bien que je reste assez impatiente de découvrir la suite des aventures de la famille Caskey, je ne saurais que conseiller à quiconque désire se lancer dans la saga de ne pas enchaîner les six tomes les uns après les autres mais de prendre son temps, histoire de garder le plaisir intact et de ne pas se lasser…
Lien : http://altervorace.canalblog..
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Bon, cette chronique sera relativement courte pour plusieurs raisons : vous devez en avoir marre d'entendre parler de cette saga et c'est un 4ème tome donc difficile d'en parler sans spoiler les précédents. Je n'ai pas boudé mon plaisir de retourner à Perdido, chez les Caskey pour suivre cette fresque familiale et historique. Ayant, comme la grande majorité des lecteurs, beaucoup aimé les 3 premiers épisodes de cette série, j'avais hâte de la continuer.

Dans ce tome 4, j'ai trouvé qu'il y avait beaucoup moins d'actions à proprement parlé. J'ai eu le sentiment que tout était davantage tourné sur les relations entre les personnages et les liens entre les membres de cette famille, une fois encore toute puissante dans cette petite ville. Grace, Lucille, Myriam et Frances sont celles qui sont mises à l'honneur. Émancipation, décisions importantes concernant leur avenir, ça ne rigole plus ! Nous sommes à une époque où la guerre en Europe et dans le Pacifique fait rage et les plus jeunes sont appelés à combattre. Je vous laisse imaginer l'état de James lorsque Danjo atteint sa majorité ! Les enfants ont grandi et le monde autour d'eux est en train de changer.

Le mystère reste toujours bien présent, notamment avec un passage fantastique qui ravira les amateurs du genre. Cependant, même si tout s'affine au fil des tomes, nous sommes encore bien loin de la grande révélation. Elinor, malgré son retrait dans ce 4ème livre, reste tout de même l'élément central, c'est elle qui tient les rênes et même si ça ne saute pas aux yeux, on le comprend très bien.

Une fois de plus, Blackwater use de sa magie pour happer le lecteur, ce livre fut lu en 24h, impossible à lâcher avec sa plume toujours aussi délicieuse et ses personnages qui nous sont désormais bien familiers. Un plaisir, un régal, de tourner les pages et d'assister à l'évolution de tout ce beau petit monde. Les femmes Caskey ont le pouvoir et ne se privent pas de le montrer !

EN QUELQUES MOTS :

Malgré le fait que j'aurais apprécié davantage d'actions, les nombreux événements familiaux tiennent tout de même la lectrice que je suis en haleine. Je suis aujourd'hui, encore incapable de vous dire pourquoi cette saga me plaît autant. Je suis certaine qu'elle a ce petit quelque chose de magique, qui fait qu'une fois le 1er tome lu, impossible de résister aux suivants. Maintenant j'espère de tout coeur que les deux derniers seront à la hauteur, ayant trouvé un tout petit essoufflement avec celui-ci, le tome 3 restant mon préféré. de toutes façons, le mystère restant entier, l'attachement envers les personnages étant sincère, il m'est tout bonnement impossible de ne pas lire la suite vite, très vite.

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Septembre 1938 - Miriam a grandi et s'apprête à partir à l'université. Malcolm Strickland a mal tourné et finit par s'enrôler dans l'armée. Les années passent et malgré la guerre, la vie continue à Perdido ... en fait les choses vont même plutôt bien pour Oscar et sa scierie. En 1942, les soldats en permission inondent la ville et la famille Caskey fait la connaissance de Billy Bronze.
Frances fait de nombreux rêves sur ce qui se passe sous l'eau et se rapproche de plus en plus de sa mère.
Des réponses sont apportées mais de nouvelles surgissent :) Vite la suite!
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