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Critique de Vielivre
Marie-Diane Meissirel est une autrice française qui aime voyager et qui aime la musique. Son livre Les accords silencieux est le miroir de cette passion pour la musique : la musique de tous les jours, la musique des relations, la musique des liens, la musique par le piano qui est au centre de ce roman.
Le voyage aussi est aussi au centre du roman : New-York, Liepzig, Shanghai, Hong-Kong. Les liens se tissent comme une partition, chaque note est importante, chaque octave apporte à l'autre une tonalité. Les personnages de ce roman sont ainsi, ils forment une partition qui les lient mystérieusement l'un à l'autre. Pour Tillie, Shen, Xia, Irina et Mei, la musique lie, la musique les entraine, la musique c'est le passé, le présent et peut-être l'avenir. Les années s'alternent mais jouent chacune leur morceau pour mieux jouer l'outro en glissando.
L'émotion est palpable. Une douceur infinie se dégage. Les mots glissent en douceur à la lecture. Chaque mot est à sa place. La composition est bien équilibrée et harmonieuse.
Et puis « tout être porte sur son dos l'obscurité et serre dans ses bras la lumière ».
A lire pour un peu de douceur de vivre.
Le voyage aussi est aussi au centre du roman : New-York, Liepzig, Shanghai, Hong-Kong. Les liens se tissent comme une partition, chaque note est importante, chaque octave apporte à l'autre une tonalité. Les personnages de ce roman sont ainsi, ils forment une partition qui les lient mystérieusement l'un à l'autre. Pour Tillie, Shen, Xia, Irina et Mei, la musique lie, la musique les entraine, la musique c'est le passé, le présent et peut-être l'avenir. Les années s'alternent mais jouent chacune leur morceau pour mieux jouer l'outro en glissando.
L'émotion est palpable. Une douceur infinie se dégage. Les mots glissent en douceur à la lecture. Chaque mot est à sa place. La composition est bien équilibrée et harmonieuse.
Et puis « tout être porte sur son dos l'obscurité et serre dans ses bras la lumière ».
A lire pour un peu de douceur de vivre.
