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Critique de Mladoria
Un second tome dont l'action est ciblée dans le Nord, dans le village de Trollsund et dans la station des Enfourneurs.
Le rythme est bien plus dynamique que dans le premier tome de cette adaptation BD, ce qui fait que le côté très ébauché des graphismes m'a bien moins gênée.
J'ai d'ailleurs beaucoup aimé le travail sur les couleurs, notamment pour les lumières de l'aurore et du crépuscule, les jeux de luminosité une fois arrivés à la station et dans les scènes enneigées.
Le lien entre Iorek et Lyra est tout à fait prégnant. Par contre, à l'inverse des romans, j'ai trouvé que les daemons et notamment Pan, sont trop peu présents. du moins, j'ai trouvé leur participation aux dialogues très restreintes comparé à l'histoire originale. Bluffée par le rendu des personnages de sorcières, d'une beauté irréelle, à l'image de leurs descriptions dans les livres.
Un second plus réussi que le précédent qui donne envie d'aller voir la fin de cette adaptation du premier tome de la trilogie. Un plaisir de replonger dans l'histoire.
Le rythme est bien plus dynamique que dans le premier tome de cette adaptation BD, ce qui fait que le côté très ébauché des graphismes m'a bien moins gênée.
J'ai d'ailleurs beaucoup aimé le travail sur les couleurs, notamment pour les lumières de l'aurore et du crépuscule, les jeux de luminosité une fois arrivés à la station et dans les scènes enneigées.
Le lien entre Iorek et Lyra est tout à fait prégnant. Par contre, à l'inverse des romans, j'ai trouvé que les daemons et notamment Pan, sont trop peu présents. du moins, j'ai trouvé leur participation aux dialogues très restreintes comparé à l'histoire originale. Bluffée par le rendu des personnages de sorcières, d'une beauté irréelle, à l'image de leurs descriptions dans les livres.
Un second plus réussi que le précédent qui donne envie d'aller voir la fin de cette adaptation du premier tome de la trilogie. Un plaisir de replonger dans l'histoire.
