Il faut bien le dire, une héroïne femme décrite par un homme jusqu'au plus profond de son intimité, j'ai du mal. Même si à la fin
Mathieu Menegaux remercie ses amies qui l'ont aidé à se mettre dans la tête
De Claire,40 ans, bourgeoise aisée qui maîtrise tout sauf l'infertilité de son couple, je reste sceptique. Très vite, l'héroïne ne m'est pas sympathique. le parti pris de l'auteur de la faire chantonner et de noter les chansons n'ont rien arrangé.
L'histoire, difficile, ne laisse pas indifférent. Qu'aurions-nous fait à la place
De Claire ? Elle a choisi de se taire. Quand elle commet l'irréparable, personne ne comprend et elle ne s'explique pas. Orgueil, toujours ?
J'ai lu ce livre très vite, parce que c'est vrai, on ne le lâche pas, dans le cadre du prix Roblès. L'avant dernière ligne me fait hurler. Comment peut-on faire ce qu'elle a fait ? Parce que dans la vraie vie, nombre d'enfants vivent sous les yeux de leurs mères qui ne sont pas toutes des bourgeoises aisées qui maîtrisent tout....
Vous l'aurez compris, l'émotion me submerge à contresens de tout le monde.
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