Je dois l'avouer, je n'étais pas mécontente de finir le tome 9. Je ne sais pas pourquoi. Malgré un plaisir évident à la lecture, je n'ai pas accroché. Mais bref. Enfin le 10. Déjà le 10. La vraie fin se rapproche tellement vite ! Et que d'action dans ce nouveau tome. Que de rencontres, de pertes, de périls, et de femmes. Rien à dire, notre joli petit Pierre-Emmanuel sait faire honneur à sa lignée ! Et pas que pour ses exploits sentimentaux. Parce que, c'est vrai, au début, Orbieu c'était bien, mais c'était loin de la cour. Un peu comme Bourg-Preux et Ciudalia. Mais en fin de comptes, le lecteur comme le héros y trouve un calme, un dépaysement et, rapidement, une familiarité qui constituent une pause bienvenue dans toutes ces aventures. Un retour à la terre que n'aurait pas renier son grand-père, notre vénérable baron de Mespech, et une bulle d'air frais et de terroir revigorant avant les angoisses et la pestilence du siège de la Rochelle.
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