Si le nom de
Robert Merle surgissait par hasard dans ma tête ou au détour d'une conversation, j'y associais immédiatement
La mort est mon métier, que je n'ai pas encore lu (coucou la procrastination). Désormais je penserai à lui et à son très bon roman qui m'a intriguée dès la première page.
J'ai adoré suivre l'avancée de Fa puis de Bi dans leur apprentissage linguistique. Je regrette malgré tout qu'il n'y ait pas eu plus de passages les concernant : dialogues dauphin-humain, expériences, observations… J'ai compris que je pouvais être fascinée par deux cétacés qui se mordent !
Cette mise en parallèle de l'animal et de la défense nationale - marine américaine est très intéressante et prouve encore une fois que l'Homme considère la faune comme un moyen et un outil en dépit de ses facultés remarquables qui sont en l'occurrence avancées sur Ivan et Bessie. Tout est crédible, à en faire pâlir !
L'écriture n'est pas des plus faciles à lire lors des dialogues. Une phrase peut facilement tenir une page avant le point final, mélangeant les différentes répliques et pensées, ce qui peut est déroutant.
J'essaierai d'emprunter au plus vite le second tome que j'espère aussi bon - voire meilleur que le premier.
A découvrir, bonne lecture. :)
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