Par la force des arbres (BD)

Ce ne sont pas les merveilles qui manquent à notre monde mais notre regard qui manque au merveilleux.

L'humanité nous atteint toujours par l'amitié de quelques-uns. Et c'est presque l'aimer toute que d'en aimer vraiment certains.

Je chéris l'altérité. La femme est de loin l'arbre qui me redonne le plus confiance dans les hommes.

Il faudrait offrir à ceux que l'on aime des bouquets d'arbres à planter plutôt que des fleurs coupées.

Quand rien n'est prévu dans la journée, c'est qu'un rien peut la combler.

J'imaginais que l'amour est d'aimer son prochain comme soi-même. Mais le plus difficile est peut-être de s'aimer soi-même assez pour aimer au mieux son prochain.

On se réfugie toujours dans les bras de ceux que l'on chérit.

Quand t'es au fond du trou, ton étoile, tu ne la vois pas, t'essayes juste déjà de te souvenir qu'elle existe.

Mon rythme suit la danse du soleil, ma bonne humeur l'allongement de ses traits. Quand on doit remettre les pendules de sa vie à l'heure, commencer par arrêter le temps.

Tout mon bonheur est là, parmi les miens. Je le sais mais je suis incapable d'y prendre part. Est-ce cela l'enfer des hommes : voir l'amour sans pouvoir y communier ?