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Critique de LectureduDimanche
Le roi n'avait pas ri est un roman historique intriguant qui retrace la vie de Triboulet, le bouffon de Louis XII et François Ier.
On le rencontre le jour où tout change, le jour où il fait la blague de trop.
Ensuite, on découvre son histoire, son enfance, et ce à quoi il a dû faire face : les moqueries, le jugement, le rejet.
On ne reste pas insensible à Triboulet, un monstre pour les uns, une étrange créature pour d'autres, le fou de Louis XII.
Je me suis laissé emporter par la plume de Guillaume Meurice, au sein de la cour, à la rencontre de Louis XII, puis de François Ier. L'écriture est fluide et l'histoire est très intéressante. L'auteur nous dépeint des personnages fascinants.
Je me suis sentie totalement immergée dans cette époque, que je n'avais jamais lue auparavant.
J'ai beaucoup apprécié ma lecture, j'ai été curieuse de découvrir l'histoire de ce fou - « faux-fou » -, qui m'a surprise plus d'une fois.
On se prend d'amitié pour Triboulet, considéré comme un sot au début, qui teste les limites à chaque fois, face à une cour soumise au bon vouloir du roi, et surtout à son rire.
Que se passe-t-il quand les limites sont dépassées, quand on prononce le mot, la blague de trop ?
« le pouvoir tolère-t-il vraiment le rire ? »
On le rencontre le jour où tout change, le jour où il fait la blague de trop.
Ensuite, on découvre son histoire, son enfance, et ce à quoi il a dû faire face : les moqueries, le jugement, le rejet.
On ne reste pas insensible à Triboulet, un monstre pour les uns, une étrange créature pour d'autres, le fou de Louis XII.
Je me suis laissé emporter par la plume de Guillaume Meurice, au sein de la cour, à la rencontre de Louis XII, puis de François Ier. L'écriture est fluide et l'histoire est très intéressante. L'auteur nous dépeint des personnages fascinants.
Je me suis sentie totalement immergée dans cette époque, que je n'avais jamais lue auparavant.
J'ai beaucoup apprécié ma lecture, j'ai été curieuse de découvrir l'histoire de ce fou - « faux-fou » -, qui m'a surprise plus d'une fois.
On se prend d'amitié pour Triboulet, considéré comme un sot au début, qui teste les limites à chaque fois, face à une cour soumise au bon vouloir du roi, et surtout à son rire.
Que se passe-t-il quand les limites sont dépassées, quand on prononce le mot, la blague de trop ?
« le pouvoir tolère-t-il vraiment le rire ? »
