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EAN : 9782709667869
300 pages
J.-C. Lattès (17/03/2021)
3.94/5   576 notes
Résumé :
Triboulet fut le difforme et volubile bouffon de Louis XII et François Ier. À travers sa vie de frasques et de facéties, il testa chaque instant les limites de sa liberté. Jusqu’à… la blague de trop.
Le pouvoir tolère-t-il vraiment le rire ? Lorsqu’elle est permise par un roi, l’irrévérence fait-elle révérence ?
L’ascension et la chute de Triboulet, racontée par un bouffon du XXIe siècle.
Que lire après Le roi n'avait pas riVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (104) Voir plus Ajouter une critique
3,94

sur 576 notes
Jusqu'ici persécuté pour sa silhouette contrefaite, le jeune Nicolas est engagé comme fou du roi Louis XII. Rebaptisé Triboulet en référence à son vécu de souffre-douleur, affublé des couleurs jaune et vert des bannis, d'un chapeau à grelots et d'une marotte faisant office de sceptre, le voilà propulsé de la fange aux fastes de la Cour du XVIe siècle à Blois. Censé amuser le monarque par ses pitreries, le bouffon du roi gagne aussi l'exclusif privilège de pouvoir s'exprimer sans filtre et sans inquiétude, sa « folie » l'exonérant de la servilité courtisane de rigueur dans l'entourage royal. Reconduit dans ses fonctions par le jeune François 1er, Triboulet s'illustre par son esprit et son insolence, jusqu'à ce qu'une ultime plaisanterie ne le fasse tomber en irrémédiable disgrâce…


Curieuse position que celle de bouffon de Cour, comme exclu du commun des mortels par sa difformité, réduit à un état de jouet suffisamment ridicule et inconséquent pour ne susciter qu'indulgence et amusement, et, au final, familier du roi comme bien peu, seul à pouvoir renvoyer leurs quatre vérités aux Grands de ce monde qu'il lui est loisible de railler et d'insulter sans qu'il ne lui en cuise, avec une liberté d'expression et de jugement dont on peut d'ailleurs douter qu'elle existe encore de nos jours… C'est donc avec un certain ébahissement que l'on découvre cette biographie romancée à partir des quelques éléments historiques connus, mais aussi des vers de Clément Marot et de l'Eloge de la folie d'Erasme. La légende a rapporté quelques bons mots et reparties de Triboulet – ou des Triboulet, on ne sait pas, puisque plusieurs fous du roi portèrent ce nom -, certains franchement rabelaisiens, d'autres témoignant d'un formidable sens de la réplique, et l'on s'amuse souvent de bon coeur de tant de percutant à-propos.


Protégé par son irresponsabilité supposée, Triboulet n'en vit pas moins sur la corde raide de la faveur royale, au-dessus du gouffre haineux où confisent les puissants du royaume. Enragés par le pouvoir qu'à ce faquin de faire rire le roi à leurs dépens, tous n'attendent que de réduire l'insolent en charpie au premier signe de disgrâce. Et, fatalement, après maints chancellements rattrapés par un bon mot, vient un jour où le roi ne rit pas, par peur de déplaire à la favorite en titre. Plaisir d'amour est plus fort que joie d'humour… C'est la dernière tocade amoureuse du roi qui l'emporte !


Enlevé et facétieux, d'une lecture fluide et agréable, ce roman historique pointant le déstabilisant pouvoir du rire et la tentation des puissants de l'encadrer, entre forcément en résonance avec l'expérience d'humoriste de l'auteur. Comment ne pas penser au poids toujours plus grand du politiquement correct de nos jours, alors que le contrôle croissant du langage et les multiples auto-censures que nous nous imposons ne cessent de corseter davantage la libre expression ? Et bien sûr, comment ne pas frémir quand certains paient aujourd'hui de leur tête le prix d'une poignée de caricatures ?

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Cette fois, le roi n'a pas ri à la saillie de Triboulet, c'en est terminé du règne de ce fou.
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Mais comment ce petit homme tout ratatiné, boiteux, bossu, né dans la misère, maltraité par ses parents et le reste de la fratrie, méchamment raillé partout, par tous, est-il arrivé à la Cour ?
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Certaines destinées connaissent des hasards heureux.
Chez les 'gueux' comme chez les puissants.
Une rencontre fortuite pour les uns, une naissance dans la bonne famille pour les autres (avec un cousin roi sans descendance masculine)... et le tour est joué.
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Cette biographie romancée, inspirée de la vie du bouffon Triboulet (1479-1536), est très agréable à lire.
Les talents de conteur de Meurice, découverts dans 'Cosme', rappellent ceux de Jean Teulé, mais le ton est moins outré, même si les reparties scato fonctionnent bien à la cour. J'ai également pensé au film 'Ridicule' (Patrice Leconte, 1996).
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On se régale des piques de ce 'fou' qui font blêmir de rage les puissants, les bien-nés. On frémit en se demandant jusqu'où Triboulet osera 'aller trop loin'. Jusqu'où Louis XII et François Ier toléreront les pitreries de celui qui fait désormais de la famille.
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J'ai aimé ce Louis XII d'une grande sagesse, le maréchal qui fait du jeune illettré un érudit féru d'Erasme, et bien sûr Triboulet, de plus en touchant, plus sensé que le jeune roi.
L'ensemble peut paraître trop factuel, l'humour grinçant de Guillaume Meurice (celui qu'on lui connaît dans Siné Mensuel) s'efface derrière le personnage vedette. Cela peut surprendre, décevoir, mais le récit reste ainsi en phase avec l'histoire, je suppose, et les réflexions en filigrane y gagnent en subtilité. le parallèle avec nos 'monarques' actuels est bien là - toujours le facteur hasard/chance qui a propulsé tel incapable au sommet ; la servilité des courtisans ; le goût pour le faste, l'ostentation, la guerre et la chasse...
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Comme le répète l'auteur dans ses (nombreuses) interviews - le livre cartonne - ce court roman captivant et émouvant fait réfléchir aux rapports entre pouvoir et liberté : liberté de l'humour contrôlé comme soupape offerte au peuple.
Il donne envie d'en savoir plus sur Triboulet et de retourner faire un tour du côté des châteaux de la Loire.
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Lorsque le rire vient à s'arrêter, c'est toujours le désespoir qui en tire profit.
Et l'époque ne fait rien à l'affaire.
Hier encore fou du roi, l'amuseur est aujourd'hui devenu marionnette du peuple.
Triboulet est certainement le plus célèbre de ces fous du roi.
Il a inspiré Rabelais, Victor Hugo, mais aussi Michel Zévaco et plus récemment Francis Perrin.
Le sujet n'a donc pas autant d'originalité que la dernière des conversations du comptoir du café des sports.
Pourtant, par Jupiter ! Guillaume Meurice n'a pas craint de s'en emparer.
La gageure était acrobatique et délicate.
Le pari, pourtant, est réussi.
Je me souviens, l'année dernière, avoir hésité chez mon libraire préféré avant que mes yeux ne tombent sur un autre titre préféré à ce moment même .
Car ce livre, "le roi n'avait pas ri", a été publié en 2021 aux éditions "Jean-Claude Lattès", et tout récemment, en 2022, dans sa version de poche.
C'est d'ailleurs dans ce dernier format que le livre de Guillaume Meurice avait été sélectionné pour concourir à l'obtention du prix des lecteurs 2022.
Malheureusement, faute d'avoir décroché le prix, Mr Meurice devra choisir son supplice : la roue, Montfaucon ou le bucher ...
Mais c'est grande injustice que voilà !
Car son livre est un étonnant moment de réflexion teinté d'Histoire.
L'écrivain caché derrière l'amuseur n'a pas démérité !
Cependant, il faut être fou pour dissimuler une telle plume derrière d'abracadabrantes interpellations de rues.
Mais dans la ruelle, qui est fou, qui est sage ?
Et puis, il faut être bien malin pour dissimuler sa sagesse derrière sa folie !
Ce livre est un sac plein de notions fugitives, fugitives mais prégnantes.
Et un air de légèreté flotte sur ce livre plus grave qu'il n'y paraît.
Triboulet a été le fou de deux rois, Louis XII et François 1er, deux rois aussi différents l'un de l'autre que l'on puisse l'être.
Mais Triboulet, jusqu'à ce qu'il franchisse la ligne interdite, a fait rire ces deux hommes, a été un des témoins favoris des soubresauts politiques du début de la Renaissance et des premiers signes de la lutte fratricide qui va s'engager entre chrétiens.
Triboulet, une fois de plus, raconte son histoire.
Mais cette fois sous la plume de Guillaume Meurice.
Le livre de Guillaume Meurice contient d'ailleurs en substance tous les ingrédients d'une belle pièce de théâtre, d'un robuste morceau de scène.
Gageons que l'auteur de ce bon livre ait assez de folie pour s'y risquer ...
Sinon, Guillaume*, tu mourras !
Et, ce n'est pas moi qui le dis, c'est la reine ...

*- tu permets que je t'appelle Guillaume ? -


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Oyez oyez braves gens, si vous êtes en quête d'une histoire ayant pour thèmes le rire, le royaume de France, la guerre et surtout une belle biographie revisitée de Triboulet, ne cherchez plus, j'ai ce qu'il vous faut !

Je ne savais pas vraiment à quoi m'attendre en ouvrant ce livre. Et, je l'avoue, j'avais peur que la farce soit poussée trop loin et surtout qu'on dénature l'histoire de France – oui bon ça c'est une déformation professionnelle, ce n'est jamais facile de lire des livres historiques romancés quand tu baignes dans le monde des historiens en permanence ! Quoiqu'il en soit, la surprise est au rendez-vous.

Le résultat est drôle, mais, par moment, c'est aussi touchant et, à d'autres moments, très réaliste car ça mène le lecteur vers une longue réflexion à savoir si l'on peut rire de tout. Aux côtés de Triboulet, on se pavane dans les grands lieux de pouvoir et on revisite le règne de Louis XII – un roi somme toute assez sage – et également celui de François Ier aux moeurs un brin légères et pas toujours adaptées à sa position !

Guillaume Meurice nous livre là une autre facette de sa personnalité, il n'est pas seulement le gaucho bobo de service. Ici, il nous montre son talent de conteur et une certaine maîtrise de l'écriture – on savait déjà que la verve était un de ses talents ! C'est plutôt une belle revanche pour tous ces détracteurs !

Derrière le costume très coloré et à grelot du bouffon Triboulet, on découvre un homme doué d'une grande intelligence et capable de rivaliser avec des grands penseurs de l'époque ! Comme quoi l'habit ne fait pas le moine !

C'est léger, c'est frais, c'est intriguant et intéressant, ça met en lumière le fait que l'on peut rire de tout mais pas avec tout le monde ! Qu'il soit troubadour ou bien écrivain, Guillaume Meurice endosse ces différents costumes à la perfection !

Si vous cherchez un moment lecture placé sous le signe de l'humour, ne cherchez plus c'est ce qu'il vous faut !
Lien : https://ogrimoire.com/2021/0..
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Au jeu du portrait chinois, il est fort à parier que Guillaume Meurice aurait répondu à la rubrique "personnage historique" : Triboulet, le fou des rois Louis XII et François Ier.

En effet, à travers cette biographie romancée, on sent toute l'implication de Guillaume Meurice, sorte de "bouffon" moderne, dont l'humour fait ravage sur France Inter.
Une implication telle que par moments on ne sait plus très bien si c'est Triboulet qui reprend vie sous la plume de l'auteur ou inversement si c'est Guillaume Meurice qui s'exprime en lieu et place du célèbre bouffon.
C'est d'ailleurs ce qui m'a gênée dans cette lecture, qui m'a également parue trop moderne dans ses répliques.

En ce qui concerne l'humour, je m'attendais à rire beaucoup plus mais je crois que l'humour littéraire n'est pas simple. A moins de jouer les interpellations de Triboulet avec les autres personnages de façon théâtrale, on peut passer complètement à côté de "bouffonades" hilarantes. Et c'est bien dommage, car dans ce roman, ça persifle, ça ironise, ça tacle à tour de bras..

Voilà, j'en ai fini avec le côté négatif. Passons à ce qui m'a bien plu dans ce roman.
C'est tout d'abord la découverte d'un personnage historique dont je connaissais l'existence mais de façon très succincte.
J'ai également apprécié la réflexion sur les limites de l'irrévérence, qui était passible de peine de mort sous François Ier mais qui de nos jours, reste encore réellement problématique.
Peut-on rire de tout ? Dans quelle mesure ? Y a-t-il des sujets à éviter ? Jusqu'à quel point le pouvoir accepte les railleries ?
C'est, à mon sens, un vrai sujet d'actualité dans cette société qui se veut tolérante mais qui, sous prétexte de ne pas heurter les sensibilités, s'autocensure.
Pourtant l'humour devrait au contraire être le moteur de toute chose.
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critiques presse (2)
Elle
06 avril 2021
Dans son deuxième roman, « Le roi n'avait pas ri », Guillaume Meurice, comédien et chroniqueur sur France Inter, nous fait redécouvrir la vie de triboulet, bouffon de Louis XII et de François Ier. Discrètement génial.
Lire la critique sur le site : Elle
LeParisienPresse
18 mars 2021
Avec son nouveau roman, «Le roi n’avait pas ri», l’humoriste de France Inter confirme ses talents d’écrivain. Une réflexion savoureuse sur le rire et le pouvoir.
Lire la critique sur le site : LeParisienPresse
Citations et extraits (108) Voir plus Ajouter une citation
Tiens toi prêt. Je t'envoie un tailleur demain pour qu'il prenne tes mesures. Il faut que tu sois beau... Enfin... Disons... présentable. Pour le reste, je ne me fais pas de souci. Contente toi d'être toi-même: sot
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_Le roi veut que tu te sentes libre. C'est ta liberté qui le fait rire. Pour lui, un fou a le droit de tout dire pour la simple et bonne raison qu'il est fou. Il ne peut être tenu responsable de ses propos
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Continue à dire au monde qui il est... Tu en dis bien plus dans tes bouffonneries que n'importe quel traité de philosophie La parole sauve... Le rire aussi... D'une autre manière.
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— À la cour, on parle beaucoup de toi.
— Ah bon ?
— Oui, tu es aimé par certains, détesté par beaucoup, mais, surtout, craint par tout le monde.
Cela m’amusa. L’idée même que mes farces puissent engendrer de la peur était, en elle-même, une facétie des plus réjouissantes. Ainsi, de cible, je serais devenu archer ?
— Cela signifie que tu fais bien ton travail. Le roi a besoin de toi. Il n’est entouré que de flatteurs. Il lui faut quelqu’un pour lui souffler la vérité. Tu sais, dans la Rome antique, lorsqu’un empereur était consacré, lors du défilé durant lequel il parcourait la ville de part en part, un esclave se plaçait derrière lui pour lui répéter : « Hominem te esse. » Tu sais le latin ?
Je regardai Le Vernoy.
— « Rappelle-toi que tu n’es qu’un humain. »
— Bravissimo ! Aujourd’hui, c’est toi qui dis au roi qu’ils ne sont que de simples mortels. Memento mori !
— C’est ça que je fais ?
— En quelque sorte… Mais pas seulement. Tu sers également à remettre à leur juste place ses conseillers trop présomptueux. Crois-moi, tu es utile. Tu es même précieux.
— Vous exagérez…
— Je t’assure que non. Les princes ont besoin de ça. Tu es un fou. Un fou qui tient le rôle de garde-fous.
Il parlait d’un ton calme et doux.
— Tous les pouvoirs craignent le rire car il est libre comme un torrent de montagne. Alors ils tentent de le maîtriser, de lui donner des contours officiels. D’où ton costume. Fais attention à ne point te laisser emprisonner dans ton rôle.
— « J’aime mieux passer pour un fou et pour un être sans valeur, que d’être sage et morose. »
— Je vois que tu connais tes classiques.
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- Allez ouste ! Tu fais fuir le client !
Sa voix était épaisse comme du vin de fond de cuve. Je me plantai devant elle.
- Le client ? Qu'est ce que tu vends, toi ?
- On m'appelle Margaux la ribaude. Tu veux un dessin ?
- Ça m'dit point ce que tu vends.
- D'l'amour.
- Quoi ?
- Laisse tomber, avec l'allure que t'as, t'es point près de savoir ce que c'est !
- Pourquoi tu te caches derrière l'église ?
- C'est que personne ne veut me voir. Et ceux qui veulent me voir ne veulent pas qu'on les voie venir me voir.
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Vidéo de Guillaume Meurice
À quelques jours du premier tour des élections législatives anticipées, médias indépendants, syndicats, associations de défense des droits et mouvements citoyens organisent un grand événement public le jeudi 27 juin à 18 heures, Place de la République à Paris, pour la défense des libertés et contre l'arrivée de l'extrême droite au pouvoir. Cet événement sera diffusé en live.
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