- Toi...toi et doc... vous essayez de me protéger?
- C'est un monde étrange, hein?
- Oui le plus etrange de tous .
(p.246)
Je... je t'aime aussi. Moi, le petit ver argent lové à l'arrière de son crâne. Mais mon corps, lui, ne t'aime pas. Il ne peut t'aimer. Je ne pourrai jamais t'aimer dans ce corps [...]. Je suis déchirée. C'est insupportable.
Cette Terre était à la fois le plus noble et le plus vil des mondes; on y trouvait les émotions les plus belles, les plus délicates, et en même temps, les pulsions les plus noires, les plus sinistres. Peut-être était-ce inévitable? Peut-être sans le Très-Bas ne pouvait-on toucher au Très-Haut?