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Critique de marina53
♪♫ Jingle bells... jingle bells, jingle all the way... ♪♫
En cet hiver 1840, la neige tombe à gros flocons sur Londres, les gens se bousculent pour terminer leurs achats dans les rues animées et illuminées. L'on se réjouit ici et là de fêter Noël ce soir... Tout le monde sauf Ebenez Scrooge qui, enfermé dans son bureau, râle et maudit ces fêtes. Banquier de son état, c'est en compagnie de son assistant, Bob, qu'il termine ses comptes. le pauvre a les doigts complètement gelés, le bois n'alimentant plus le poêle. Deux individus viennent troubler cette fin de journée. Ils font la quête afin d'aider les plus démunis et leur permettre de se chauffer ou de s'acheter de quoi manger. Scrooge n'en a que faire de ces pauvres gens et envoie paître les deux hommes. Idem lorsque son imbécile de neveu viendra pour l'inviter à manger avec lui et sa petite famille, il le congédie aussitôt. Lorsque 18 heures sonnent, Bob peut enfin prétendre à quitter son boulot. Scrooge, quant à lui, rentre chez lui, dans son grand appartement sombre et délabré. D'étranges bruits le perturbent et l'inquiètent. Quelle surprise de tomber nez à nez avec le fantôme de son ancien associé, Jacob Marley... mort il y a 10 ans ! Celui-ci le met en garde : c'est l'Enfer qui l'attend s'il ne change pas et reste aussi radin, bougon et méchant...
Rodolphe, en adaptant le roman éponyme de Charles Dickens, nous replonge dans la supposée magie de Noël. Car ce bougre de Scrooge n'en a que faire de ces réjouissances, ces embrassades et ces cadeaux au pied du sapin. Seuls mots d'ordre: travail, argent et économie. Mais, une surprise de taille l'attend et pourrait bien lui faire changer d'avis. le point fort de cet album réside sans nul doute dans le dessin d'Estelle Meyrand. Aux pastels et à la craie, elle nous offre de superbes planches hivernales et de magnifiques couleurs avec des personnages expressifs. le découpage et le cadrage sont judicieux et enlevés.
Scrooge, un chant de Noël que l'on entonne encore...
En cet hiver 1840, la neige tombe à gros flocons sur Londres, les gens se bousculent pour terminer leurs achats dans les rues animées et illuminées. L'on se réjouit ici et là de fêter Noël ce soir... Tout le monde sauf Ebenez Scrooge qui, enfermé dans son bureau, râle et maudit ces fêtes. Banquier de son état, c'est en compagnie de son assistant, Bob, qu'il termine ses comptes. le pauvre a les doigts complètement gelés, le bois n'alimentant plus le poêle. Deux individus viennent troubler cette fin de journée. Ils font la quête afin d'aider les plus démunis et leur permettre de se chauffer ou de s'acheter de quoi manger. Scrooge n'en a que faire de ces pauvres gens et envoie paître les deux hommes. Idem lorsque son imbécile de neveu viendra pour l'inviter à manger avec lui et sa petite famille, il le congédie aussitôt. Lorsque 18 heures sonnent, Bob peut enfin prétendre à quitter son boulot. Scrooge, quant à lui, rentre chez lui, dans son grand appartement sombre et délabré. D'étranges bruits le perturbent et l'inquiètent. Quelle surprise de tomber nez à nez avec le fantôme de son ancien associé, Jacob Marley... mort il y a 10 ans ! Celui-ci le met en garde : c'est l'Enfer qui l'attend s'il ne change pas et reste aussi radin, bougon et méchant...
Rodolphe, en adaptant le roman éponyme de Charles Dickens, nous replonge dans la supposée magie de Noël. Car ce bougre de Scrooge n'en a que faire de ces réjouissances, ces embrassades et ces cadeaux au pied du sapin. Seuls mots d'ordre: travail, argent et économie. Mais, une surprise de taille l'attend et pourrait bien lui faire changer d'avis. le point fort de cet album réside sans nul doute dans le dessin d'Estelle Meyrand. Aux pastels et à la craie, elle nous offre de superbes planches hivernales et de magnifiques couleurs avec des personnages expressifs. le découpage et le cadrage sont judicieux et enlevés.
Scrooge, un chant de Noël que l'on entonne encore...
