C'est à Prague que
Gustav Meyrink situe ces récits. La ville qu'il évoque est souvent inquiétante, pleine de personnages fantomatiques ou monstrueux. Dans "La maison de l'alchimiste", la tradition occulte de Prague resurgit.
Gustav Meyrink était fasciné par l'Orient, les sociétés secrètes, la psychanalyse, les techniques de suggestions, etc. Il a un goût prononcé pour le grotesque, les expérimentations bizarres, voire macabres, qui transgressent les lois du vivant. Ces récits sont souvent déconcertants, placés sur un seuil, entre l'ici-bas et l'au-delà, le passé et le présent, l'Occident et l'Orient. je n'avais lu de
Meyrink que "
Le Golem" et j'espère désormais approfondir cette oeuvre surprenante.
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