Retour à Nouvelle-Crobuzon après temps d'années avec un sentiment mitigé. On sent que
Miéville est bien derrière ce livre (les thématiques de la révolution, de la lutte, son imaginaire fou) mais tout ceci se fait au détriment des personnages, qui (à part Faucheur) n'ont aucune épaisseur. Il en est de même du Concile de fer au final.
Un brin de déception.
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