Dans l'introduction il est dit de cet auteur roumain du début du XXè siècle qu'il aimait les auteurs russes
je ne suis pas étonnée
dans
La Femme chocolat j'ai retrouvé les ambiances de
Dostoïevski
les sueurs froides et la solitude de Raskolnikov
les salons de
l'Idiot
la femme intimidante inaccessible et fantasmée, troublante
la solitude d'un jeune homme tourmenté aux prises avec son esprit. Mais aussi la spécificité de l'auteur, avec cette matière, ce goût, cette gourmandise des sens que peut devenir une femme aux airs de pièces en chocolat...
Une histoire de peau, chocolatée, amour passion, jalousie en lisière du fantastique.
Merci au travail de traduction qui nous permet de découvrir des auteurs.
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