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Citations sur Fragments d'éternité, tome 4 : Londres, 1946 (6)

«  Je ne sais plus ce que je désire… à part tes lèvres, à part ta peau, à part Toi. Je sais que nous nous reverrons. Dans un mois, dans un an, dans dix ans, nous nous retrouverons. Tu m’as écrit qu’aimer, c’était être égoïste. Je le suis. Je voudrais que tu m’attendes, je voudrais que tu croies en moi, que tu gardes espoir. Mais dans un monde aussi sinistre, c’est peut-être trop demander. Pourtant, je me raccroche à l’idée que mon amour pour toi n’est pas limité par le temps et l’espace. Il n’est même pas limité par mon existence. Je suis et je t’aime tant que tu seras et que tu m’aimeras. »
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La nuit était enfin là. Les deux amants s'enlacèrent, tendrement. Ils savaient tous deux de quoi serait faite cette nuit. Une nuit discrète et protectrice, pour les cacher du monde. Une nuit pour penser leurs âmes [...]. Une nuit comme une immense inspiration avant des centaines de jours de soleil.
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[...] il faudrait être aveugle pour ne pas voir, pour ne pas comprendre, à la manière dont ils s'enlacent que dans le seul bruit de leurs respirations, il y a des pages de promesses d'amour.
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« Seán perdit son sourire. Il le regarda, inquiet, et posa doucement sa main sur la sienne en plongeant son regard dans le sien.
— Eh bien alors, c’est moi qui te retrouverai, promit-il, ému. »
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« — Bigre, t’en as mis une tartine ! On dirait feu ma grand-mère quand elle se préparait pour aller assister à un opéra à Covent Garden ! se moqua l’étudiant non sans bienveillance en désignant le maquillage blanc qui couvrait le visage de l’Irlandais. »
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« Peut-on dire que les villes, avec leurs rues qui se croisent et s’entrecroisent, leurs maisons basses et leurs hauts immeubles, leurs effets de style et les atermoiements de leur histoire fragmentée, sont les pieds et les vers d’un poème ? Un très ancien poème, immense, monstrueux, magnifique, de l’un de ceux qui vous emportent sur les vagues du temps. Au jeu de cette métaphore, Londres est un cadavre exquis, une cité chaotique où se juxtaposent les rimes les plus mélodieuses et les plus atroces, où les images naissent, meurent, éclatantes ou fades, tragiques parfois, belles souvent. Ce poème de la ville est aussi imprévisible que les habitants qui la peuplent. »
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