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3,75

sur 365 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Bon cette fois j'abandonne! Cela fait des semaines que j'essaie et je n'y arrive pas. J'en arrive à me dégoûter de la lecture, et à me mettre devant netflix le soir pour éviter un tête à tête ou plutôt une prise de tête avec ce livre! Je me décide à enfin commencer une lecture plus intéressante.
Je n'ai pas réussi à rentrer dans l'histoire ni à éprouver une quelconque sympathie avec le moindre personnage. Je trouve l'histoire complètement tirée par les cheveux et je m'ennuie en la lisant. Bref une mauvaise expérience, je n'aime pas abandonner mes lectures mais là je ne peux plus! Je me félicite d'avoir atteint la page 189
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Le bandeau sur la couverture de ce polar annonce la couleur : " Je m'appelle Freedom Oliver. J'ai tué ma fille". Entrée en matière glaçante. Tous les chapitres commencent par la déclaration de son identité et Freedom nous raconte son histoire. Elle a de quoi raconter, tant sa vie a été jalonnée d'obstacles, de déconvenues et de mauvaises rencontres. Écouter un peu ça...
Freedom Olivier, alcoolique et suicidaire, a passé dix-huit ans à se cacher dans une petite ville de l'Oregon, sous protection du FBI. Hantée par son passé douloureux et la mort brutale de son mari, elle souffre d'avoir abandonné ses deux enfants pour échapper à la vengeance de son beau-frère. En apprenant la disparition de sa fille Rebekah, élevée par un pasteur aux croyances radicales, elle part avec l'énergie du désespoir pour le Kentucky. Après tant d'années à se cacher, quitter l'anonymat c'est laisser à son bourreau l'occasion de la retrouver. Et de se venger.
Les Infâmes a un GROS défaut : celui du premier roman. Jax Miller a ressenti le besoin urgent de raconter tous les maux et obscénités de la terre, sans doute tout ce qu'elle avait sur le coeur : violences conjugales, maltraitances d'enfants, abus sexuels, viol, adoption, dysfonctionnements de la justice et de la police, obésité, secte, suicide collectif, terrorisme, handicap, indiens sans terre, légendes indiennes, bikers endiablés, tout y est ! Et là je dis trop c'est trop ! Lourd fardeau pour Freedom Oliver...
Les personnages sont caricaturaux. Par exemple Freedom alcoolique stocke ses petits pilules pour mettre les bouts mais auparavant elle doit montrer de quoi elle est capable, façon Wonder woman. Et le jeune flic du coin, jeune papa qui élève son fils seul, en pince pour cette écorchée vive, il est prêt à tout pour la sortir de cette sale affaire. Heureusement son ex-beau-frère handicapé moteur qui se fait passer pour un débile "vole" au secours de Freedom.
En prime, invraisemblances et scenario mal ficelé achèvent une bonne fois pour toutes le roman.
Le polar a obtenu le Grand prix des lectrices ELLE policer 2016. On pouvait trouver mieux !
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Contrairement à d'autres , je n'ai pas du tout, mais alors pas du tout aimé ce livre.
L'écriture à la truelle (à moins que la traduction n'y soit pour quelque chose?)
La provoc' volontaire et surfaite dans les descriptions des déjantés et autres personnages de toutes sortes....
L'accumulation de tous les thèmes et poncifs possibles réunis en une seule histoire, le tout très prévisible et du vu et revu mille fois , d'une affligeante banalité.
La provoc', les déjantés ça déjà été fait dans de nombreux romans et bien mieux que ça .
Parfaitement oubliable.
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A première vue, chouette, une quatrième de couverture qui laisse imaginer un bon roman noir en perspectives, à dévorer en vacances...
Aïe, quelle déception, et c'est peu dire!
Au final, rarement un roman m'aura autant énervée, voire mise en colère. Au service d'une intrigue qui semblait plutôt prometteuse, des personnages on ne peut plus caricaturaux, auxquels il est impossible de s'attacher tellement ils sont sans épaisseur. Des situations complètement cliché, pleines d'approximation et d'invraisemblance: par exemple un gentil infirme moteur cérébral mais néanmoins très intelligent met 1/4 d'heure à allumer la télé avec la télécommande, mais en revanche il a manifestement su coudre seul une poche secrète à l'intérieur du bras de son fauteuil roulant...
Et pour couronner le tout, un style qui se voudrait percutant et incisif mais qui est affolant de lourdeur, digne d'un devoir de collégien, et parfois à la limite du racoleur ("Huit heures à rouler sur cette moto, et je n'ai plus aucune sensation dans le clito à cause des vibrations").
L'auteur ne sait pas toujours non plus de quel point de vue elle nous raconte son histoire, l'héroïne étant par exemple parfaitement capable de nous raconter à la première personne du singulier, au présent et de manière très claire les propos et actions des flics qui l'entourent, dans une scène où elle est elle-même totalement bourrée, ne s'exprimant plus que par borborygmes...
Le style est tellement pauvre (on croirait lire un scénario) que Jax Miller, incapable de faire entrer le lecteur dans une quelconque émotion, lui indique gentiment ce qu'il est censé imaginer ou ressentir: "La scène est déchirante" ou encore "Les quatre hommes se mettent à se hurler dessus, la scène dégénère".
Bref, ce livre est pour moi un grand mystère...
Ou alors une grande supercherie, non pas de la part de l'auteur (c'est un premier roman) mais de celle des éditeurs qui osent proposer ça.

Pas sûre que je me risquerai à nouveau chez Ombres Noires...
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