AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,75

sur 365 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Ce que j'ai ressenti:…Une fureur contagieuse…

Freedom… Sentez un peu ce brin de liberté dans votre face…Ah, mais vous allez me dire qu'il y a un certain relent de vapeur nauséabonde, et je vous répondrai « mais à quoi tu t'attendais avec un titre pareil??!!!!Exit la féérie, bienvenue au Kentucky! Une plongée spectaculaire dans les bas-fond de la nature humaine, et prends toi un bon verre pour accompagner le tout, c'est un sacré rodéo d'émotions fortes qui t'attend en ouvrant ses pages….

-Est-ce qu'il y a encore des gens normaux?

Les infâmes : mais que de promesses tenues avec ce titre évocateur…Ils ont tous un grain, sont tous difficilement appréciables et forcement tous un peu bourrés, voire sacrement barrés….Pas vraiment une ballade calme en ces lieux perdus de l'Oregon, ni de rencontres charmantes sont au programme…Infamies, affamés, fin fanatique, forme fatale de folie : un bien sombre panorama de l'Amérique profonde…Jax Miller nous fait un tour d'horizon sociétal américain avec une certaine fureur, un grand talent, et une belle dose d'humour noir, et on comprend ce titre gagné pour ce premier roman dynamique et déjanté!

« – Je bois pas d'eau . Les poissons baisent dedans. »

S'il est évident qu'on ne se prend pas beaucoup d'affection de prime abord avec cette dame (cf, le prologue bien frappé ), avec le temps, j'ai été souvent fan de ses répliques, et je me suis attachée à ce bout de femme, qui décide d'avancer coûte que coûte, au mépris des lois, du danger, ou de la raison…L'auteure ne prend pas le parti de créer une simple intrigue policière avec un enquêteur plus ou moins lisse, non, elle envoie une mère folle furieuse, complètement désaxée, et avec cet instinct presque animal de protéger sa progéniture dans un road-trip qui vous retourne à peu près chaque particule de votre corps et de votre esprit! Et avec sa détermination, on la suit dans ses dangereuses péripéties, sur sa moto, bravant même l'univers pour retrouver sa fille, et même si le voyage est une horreur de tension et d'angoisse pour Freedom, nous, pauvres lecteurs, on se laisse prendre par ce roman d'une noirceur infamante, avec cette plume impertinente…Un régal à lire!!!

« Tout ce que je sais, c'est qu'il faut que je reste en mouvement; que je bouge. Sinon, je sauterai. Je m'écraserai. Je mourrai. »

Ma note Plaisir de Lecture : 9/10

C'est une Lecture Commune faite avec Belette2911, n'hésitez pas à passer sur le blog pour voir le rendu, ou sur son retour, ici, sur Babelio...;)
Lien : https://fairystelphique.word..
Commenter  J’apprécie          580
Dès le début, cela commence fort, avec un prologue intense qui commence ainsi : "Je m'appelle Freedom Oliver et j'ai tué ma fille. C'est surréaliste, et je ne sais pas ce qui me fait le plus l'effet d'un rêve : sa mort ou son existence. Je suis coupable des deux."

Freedom, écorchée vive, m'a plu d'emblée, avec son caractère complètement déjanté, (on le serait à moins avec tout ce qui est arrivé dans sa vie), son alcoolisation parfois massive pour oublier, la façon dont elle stocke les médicaments qu'on lui prescrit afin de les ingurgiter de façon massive le jour où elle l'aura décidé.

Sa vie est difficile, vue sa qualité de témoin protégé depuis que son mari, ex-délinquant reconverti en flic ripou, a été tué. Elle a bénéficié d'un non-lieu et c'est son beau-frère qui a été condamné, et ses enfants placés. On lui a offert une nouvelle identité : Freedom Oliver.

le train-train change quand, au moment où le beauf en question est libéré au bout de dix-huit ans de prison, elle apprend la disparition de sa fille Rebekah.

Evidemment, sa belle-famille sous la férule de la mère obèse, folle droguée, alcoolique et ivre de vengeance, se lance à sa poursuite. Parmi ses quatre enfants, tous nés de père différent, seul Peter, jouant les idiots dans son fauteuil roulant pour tromper sa mère, semble à peu près normal. Ce qui donne des scènes quasi surréalistes, mais tellement vraisemblables de cette Amérique profonde.

Jax Miller nous entraîne dans cette histoire sur un rythme trépidant, et malgré des scènes violentes cocasses, nous dépeint très bien le milieu des sectes avec cette « Eglise des Adventistes du Troisième Jour » sous la férule de Virgil Paul, qu'on pourrait qualifier de « fou de Dieu », le père adoptif des enfants de Freedom, auquel Dieu rend visite pendant ses rêves pour dicter sa loi, avec toutes les manipulations mentales, les sévices au nom de Dieu qui peuvent en découler.

Une belle analyse aussi de la souffrance d'une mère à laquelle on a arraché ses enfants et qui traîne une immense culpabilité qu'elle tente d'oublier dans l'alcool, mais qui se réveille brutalement avec cette disparition, tous les coups sont permis quand on n'a plus rien à perdre. Elle cesse de subir.

Jax Miller alterne le récit du présent, à la première personne, où chaque chapitre commence par la même phrase : « Je m'appelle Freedom et… », avec le récit des événements passés, dans la vie de chacun. On entre ainsi peu à peu dans leur sphère intime et leurs failles

Elle mène cette histoire avec un rythme intense, endiablé, on court avec Freedom derrière les méchants, et on rencontre des personnages hauts en couleurs, caricaturaux. On suit avec plaisir d'autres personnages, tels le frère de Rebekah, ou le flic chargé de la sécurité de Freedom, ou Peter. L'auteure donne des indices dès les premières pages, mais on les oublie, pris dans l'action et elle dépeint très bien la violence de cette Amérique où les armes circulent comme des bonbons, comme les drogues et l'alcool.

Belle découverte, car on en sort sonné ; ce n'est pas une grosse claque mais une succession de beignes, comme sur un ring (dont on n'a jamais envie de descendre !) écrit dans un langage très imagé.

Note : 8/10
Lien : https://leslivresdeve.wordpr..
Commenter  J’apprécie          402
♬ Noir c'est noir... ♬
Quelle noirceur dans cette histoire, et quelle noirceur dans ces personnages !
Une multitude d'adjectifs m'ont traversé l'esprit tout au long de ma lecture : poisseux, pesant, sombre, sinistre, inquiétant, dérangeant, glauque, et bien d'autres.
Jax Miller n'y est pas allée de main morte. Elle a décidé de nous présenter une belle galerie de "méchants". Le titre nous prévient d'emblée : ces gens-là sont infâmes. Mais ce qui est très intéressant, c'est que ces personnages ne sont jamais caricaturaux : ils sonnent juste, ils sont crédibles.
Jaw Miller nous a concocté une histoire très maîtrisée : elle tire habilement les ficelles et contrôle tout de A à Z. Rien n'est laissé au hasard, tout est à sa place, du début à la fin.
Les chapitres s'enchainent, tels des plans de cinéma, à un rythme soutenu. L'écriture est très visuelle, on a souvent l'impression d'avoir un scénario sous les yeux. C'est plein de vie, et c'est diablement efficace.
Avec Freedom Oliver, Jax Miller a réussi un très beau portrait de femme. Forte et faible à la fois, terriblement humaine et attachante. Un personnage qui marque durablement.
Un livre que je recommande vivement, mais aux amateurs du genre, à ceux qui aiment le roman noir, vraiment noir. Amateurs de bluettes et de lectures légères, passez votre chemin, ce livre n'est pas pour vous.
En fin d'ouvrage, Jax Miller remercie ses éditeurs en ces termes : "Mes éditeurs [...] qui continuent à me faire évoluer en tant qu'écrivain et qui m'ont aidée à peaufiner des dons que j'ignorais avoir." Eh bien désormais, elle ne peut plus ignorer les avoir ces fameux dons, et le lecteur non plus !
Un grand merci à Babelio et aux éditions Ombres noires pour cette lecture. Je me réjouis vraiment de la rencontre à venir avec l'auteur.
Commenter  J’apprécie          381
Dès la première phrase, "Je m'appelle Freedom Oliver et j'ai tué ma fille", le ton est donné. "Les infâmes" ne sera pas une promenade bucolique.

Il y a bien dans ce premier roman quelques faiblesses et quelques facilités, des personnages un peu caricaturaux, des situations peu crédibles. Mais malgré ça, on peut dire que Jax Miller livre ici un thriller noir très réussi.

L'intrigue est astucieuse et très bien menée. L'auteure manie parfaitement l'art du suspense et des rebondissements et sait attraper le lecteur pour ne plus le lâcher jusqu'au dénouement.
L'écriture est à l'avenant , vive, nerveuse. Les chapitres courts s'enchaînent à un rythme effréné et tiennent le lecteur en haleine.

Mais la plus grande qualité des "infâmes" (quel titre français pourri !) est son personnage principal. Jax Miller dessine un beau portrait de femme. Freedom est un personnage magnifique. Tour à tour agaçante, attachante, glaçante, émouvante, brutale, courageuse, douce, elle insuffle au récit une humanité qui prend aux tripes. Impossible de rester insensible devant cette femme pleine de souffrances, prête à affronter le monde entier pour sauver sa fille.

Ce premier roman très prometteur place d'emblée Jax Miller parmi les auteurs à suivre. Joli coup d'essai !
Commenter  J’apprécie          280
L'auteur nous entraîne dans des univers très glauques,à commencer dans celui de Freedom Oliver,alcoolique et violente,qui recherche désespérément ses enfants qui lui ont été enlevés suite à une énorme injustice.Pour ce faire elle doit affronter une belle famille sordide qui crie vengeance,puis une secte monstrueuse,dépeinte avec talent,telle qu'on se l'imagine à travers certains faits-divers relatés dans les médias.
Chacun des personnages est soigneusement mis en scène et on sait qu'ils pourraient exister dans la "vraie vie".
On se révolte,on aime,on s'attendrit,on déteste ,on plaint,on est submergé d'émotions fortes tout au long de l'histoire.Beaucoup "d'infâmes"dans un monde où l'amour existe quand même.Très bon roman.
Commenter  J’apprécie          190
Quand noir c'est noir et qu'il te reste même plus l'espoir, moi j'ai du mal à croire au gris de l'ennui...

Ami lecteur, si tu veux du bonheur, n'ouvre pas ce roman, il est rempli de noir, de désespoir, de violence et d'alcool pour aider à oublier le gris de la vie, de vies de merde et tout ce qui fait que la vie est vraiment pourrie pour certains.

Freedom Olivier à décroché le gros lot à la loterie merdique de la vie : de jeune fille bien qui a terminé ses études major de sa promotion, là voilà serveuse dans un bouge infâme pour motards roulant les mécaniques et éclusant l'alcool comme d'autres boivent de la flotte.

Freddom, tu t'en doutes, ce n'est pas son vrai nom. le programme de protection des témoins lui a changé et elle a choisi celui-là, tu sauras plus tard pourquoi. Mais quand je te dis que sa vie est pourrie de misère, d'envie de suicide et d'alcool, je suis encore gentille. Sa vie est une horreur depuis de nombreuses années.

D'entrée de jeu, Freedom frappe fort puisqu'elle se présente et qu'elle t'envoie dans les gencives un uppercut maousse kosto "J'ai tué ma fille".

Comment tu veux arriver à apprécier un personnage principal qui te balance ça dans les incisives ? Et bien, en vérité je te le dis, Freedom Oliver, tu vas l'apprécier, même dans ses délires de femme bourrée, même dans son côté borderline, dans tout, tu vas apprécier cette bonne femme qui a été brisée par la vie, mais surtout, par des êtres humains et des mauvais choix.

Après, pour elle, tout est parti en couille.

De toute façon, quand tu vois les personnages qui hantent ces pages, tu te dis que Freedom Oliver, c'est un ange, un agneau, comparée à certains, dont ses beaux-frères qui n'ont de beaux et de frères que le nom. Quant à la mère de ces bâtards, l'espèce de grosse truie de 300 kg, on se surprend à avoir envie qu'elle s'étrangle avec son cubi de vin.

Que du sombre dans ces pages, que du désespoir, des vies de merde, et pourtant, dans le fond de ce putain de tunnel sans fin, tout au bout, brille une loupiote : l'espoir qui a réussi à se faufiler dans toute cette noircitude (néologisme offert en cadeau).

Un roman noir, très noir, où trainent en effet des paumés magnifiques, des flics indélicats et véreux, des dégénérés de mecs et, pire que tout ça, un dangereux fanatique religieux qui a tourné les Écritures dans son sens... À se demander si le plus pire ce n'est pas Virgil Paul, le prédicateur qui dit que Dieu lui parle.

Freedom va devoir accomplir un putain de dangereux périple pour retrouver ses enfants qui sont adultes... Ses enfants qu'elle a dû abandonner. Une véritable odyssée sans véritables héros pour l'aider..

Et toi, pauvre lecteur, tu la suivras dans son périple fou, dans son odyssée flamboyante, dans sa quête, dans son envie de rédemption, dans sa rage de mère qui ne veut que la vengeance.

Tu la suivras dans ses combats, tu prieras pour qu'elle y arrive, tu remercieras l'auteur d'avoir pensé à lui envoyer des gens pour l'aider dans sa tâche et à la fin, tu poseras le livre, secoué, laminé, mais avec cette lueur d'espoir qui brillera aux fonds de tes yeux.

Lien : https://thecanniballecteur.w..
Commenter  J’apprécie          180
Voici encore un titre et un auteur vers lesquels je ne me serais pas orienté sans la fréquentation de Babelio et cette collaboration avec les éditions « Ombres noires ». Quelle découverte ! Quel beau premier roman !
Freedom, (ex Vanessa) est une femme devenue alcoolique et qui vit d'un boulot un peu minable, comme il y en a tant en Amérique s'est vu retirer ses enfants après avoir été accusée du meutre de son mari. Finalement après deux ans d'emprisonnement elle bénéficie d'un non-lieu mais des services sociaux un peu perturbés vont décider de ne pas les lui rendre.
Après vingt ans et la libération d'un de ses beaux-frères finalement accusé, sa belle-famille décide de se venger.
En parallèle elle cherchera à retrouver ses enfants et découvrira qu'ils ont été placés et élevés dans une famille à la tête d'une église évangéliste à tendances sectaires.
Pleine de violences, d'alcoolisme et de rencontres étonnantes, la quête de Freedom la conduira à une sorte de victoire et de bonheur retrouvé, bien qu'incomplet.

C'est un roman dans le ton des années 50/60 et pourtant très moderne, intégrant l'ambiance d'une Amérique d'aujourd'hui (Pas celle des grandes villes pour touristes et « show-biz », mais celle de l'intérieur, des petites villes, des road-trip, des ports d'armes, etc).
Cela montre que notre environnement évolue sans cesse, alors que nos sentiments et nos comportements sont bien ancrés en nous.

On traverse avec ce roman des univers difficiles décrits de façon très réaliste et documentée ( le fonctionnement d'une secte, une famille Amérindienne avec ses secrets et ses connaissances ancestrales…)

Tout cela est fort bien maîtrisé, bien écrit, et ne fait pas oublier l'intrigue qui est vraiment captivante. D'ailleurs, ce livre fait partie de ces romans dans lesquels on entre doucement mais que l'on ne lâche plus jusqu'à la fin.
Essayez-le, ça vaut le détour.
Commenter  J’apprécie          170
Passionnant de bout en bout.

Entre les paumés magnifiques, les flics indélicats, les dégénérés et de dangereux fanatiques religieux.

J'ai grandement apprécié ce livre de Jax Miller, auteure que je relirais.
Commenter  J’apprécie          162
Elle s'appelle Freedom et c'est une enragée.
Elle s'appelle Freedom et il ne faut pas la chercher.
Elle s'appelle Freedom et elle est l'héroïne de ce roman déjanté, une Calamity Jane de l'an 2000.
L'intrigue est alambiquée mais tient la route -cinématographiquement, je la situerais entre "True Romance" et "Tueurs nés", pour son mélange d'amour, de folie, de vengeance et de violence. Ca va très vite, et il y a de nombreux personnages typiquement américains : prédicateur hypocrite, flics pourris et tendre flic, avocats cyniques, mère de 300 kg et fils débiles, motards fachos, indiens bienveillants..., et cette barmaid canon qui s'appelle Freedom et fuit son passé dans l'alcool, jusqu'à ce qu'elle doive fuir pour de vrai afin de retrouver sa fille et échapper à sa belle famille qui veut la tuer.
J'ai adoré, même s'il y a parfois quelques longueurs. Mais les nombreux rebondissements et les personnages incroyables (Freedom en tête) rendent la lecture très plaisante, et ce serait dommage de passer à côté.
Commenter  J’apprécie          160
Merci à Babelio pour l'envoi de ce livre !
Freedom Oliver est une femme qui n'a de liberté que le nom. Cela fait 18 ans qu'elle se cache dans une petite ville de l'Oregon sous protection du FBI à cause de la mort brutale de son mari et pour échapper à la vengeance de sa belle-famille. Cette fuite à dû l'obliger à abandonner ses enfants, les confiant à une famille adoptive.
Freedom va passer sa retraite à travaillant dans un bar, devenant de plus en plus alcoolique et suicidaire au fur et à mesure que son passé la ronge. Alors, lorsqu'elle apprend que sa fille Rebekah a disparu, elle va se lancer sur ses traces, faisant tout pour protéger l'enfant qu'elle n'a jamais vu. En chemin, elle va croiser des flics pourris, un pasteur radicaliste, des beaux-frères bien déterminés à se venger... mais aussi des Indiens, de la famille aimante, un flic intègre.
Les Infâmes me tentait tout particulièrement, déjà pour son résumé, mais aussi pour les thèmes abordés. Alcoolisme, famille, vengeance... Il ne m'en faut pas plus ! Mais il va y avoir également beaucoup plus : Jax Miller écrit ici son premier roman, et quelle maîtrise ! Une histoire passionnante, merveilleusement bien écrite, du suspense, et des rebondissements. Il y a un côté thriller, avec cette enquête notamment pour déterminer ce qu'il s'est passé exactement lors de la mort du mari de Freedom, mais Les Infâmes tient plus du roman noir, avec cette histoire très sombre dans une Amérique violente, peuplée de sadique, de fanatiques et de déséquilibrés. On ne reviendra pas intact de cette lecture ! Mais au milieu de toute cette violence et de ces conflits, il y a malgré tout une lueur d'espoir, qui brille tout au fond des ténèbres : il y a un instinct maternel, tenu en laisse trop longtemps ; il y a une chance de rédemption ; il y a de l'amour ; il y a de la vie !
Les Infâmes est un livre qui m'a captivée tout du long, jusqu'aux dernières pages, et j'en redemande ! N'hésitez surtout pas, c'est une histoire qui vaut le coup d'oeil !
(Mon avis sur mon blog.)
Lien : http://chezlechatducheshire...
Commenter  J’apprécie          150




Lecteurs (823) Voir plus



Quiz Voir plus

Quiz sur le livre "Les infâmes" de Jax Miller.

Qui est en fauteuil roulant ?

Lynn
Peter
Luke
Matthew

10 questions
9 lecteurs ont répondu
Thème : Les infâmes de Jax Miller Créer un quiz sur ce livre

{* *}