Ok les gars, voici le menu du jour : femmes kebab, seins en aspic, culs bordés de nouilles, lèvres en terrine dans toute leur ignominie. Bien sûr, je remets une vierge dans le pressoir. Mais qu'avons-nous là ? Une splendide croupe de salope en liberté. Des mamelles marinées dans la salive et la sueur, humides et dégoulinantes.
Certainement madame. Nous avons les meilleures victimes, avec une peau fine et blanche qui fait ressortir les veines. Des êtres innocents, nourris au lait pour un sang sans la moindre toxine.
Certainement madame. Nous avons les meilleures victimes, avec une peau fine et blanche qui fait ressortir les veines. Des êtres innocents, nourris au lait pour un sang sans la moindre toxine.
Madame, la guilde des transports s'est dotée d'une politique environnementale globale. Nous recyclons nos victimes plutôt que de leur attribuer un usage unique.
Des runes de puissance seront tatouées sur ton corps et des talismans de protection introduits sous ta peau.
Sur Terre, ces gens étaient peureux et craintifs, disciplinés, obéissants, soumis, jamais d'écarts, jamais de risques. Pas mon style. J'ai été jugée à 16 ans pour avoir restylé un malotru avec une chope. Et je n'ai jamais cessé de m'éclater depuis. Eux étaient médiocres, inutiles, avec des existences de morts-vivants. Alors la destinée les a punis de leur couardise en faisant d'eux la lie des enfers, des zombies.
Évidemment mademoiselle ! c'est notre devoir de patriotes américains ! Garantir la démocratie du monde !
Ce bled évoque furieusement Ploucville. Les habitants ont réapparu en zombies. Vu ce qu'ils semblent avoir été, il se pourrait que ce soit un progrès.
Ne t'inquiète pas pour ta mère, ma chérie, elle rentre chez elle.
L'hymne à Pan - Frémis du désir souple de la lumière, Ô homme ! Mon homme ! Viens vite de la nuit de Pan ! Iô Pan ! Iô Pan ! Viens par-delà de la mer de Sicile et d'Arcadie ! Errants comme Bacchus avec faunes et léopards et nymphes et satyres pour gardes. Viens, Ô viens ! Je suis engourdi du désir lascif solitaire de l'empire du diable ! Les grandes bêtes viennent, Iô Pan ! Je suis porté à la mort, sur la corne de l'unicorne. Je suis Pan ! Iô Pan ! Iô Pan ! Pan ! Pan ! Bouc de ton troupeau, je suis or, je suis dieu, chair à ton os, fleur à ton thyrse, du solstice rebelle jusqu'à l'équinoxe. Et je délire ; et je viole et je me fends et je me déchire !