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Critique de michfred
Glacé, glaçant, flippant...
Le thriller montagnard de Bernard Minier a tout pour vous empêcher efficacement de dormir: des crimes en série, des mises en scène macabres et gores à souhait, des lieux impressionnants -une vieille usine électrique souterraine, une colo'sinistre et abandonnée, un hôpital de haute sécurité pour fous furieux et homicides, des petites vallées étroites et humides, des villages pleins de secrets et de violence cachée sous le tapis- mais surtout l'HIVER, glacial, comme il se doit, plein de neige, de frimas, de glace qui se détache, d'avalanches qui déferlent, de routes qui verglacent, de brouillards qui vous avalent...Brrr...
J'allais oublier les personnages, franchement réussis: un commandant de police traumatisé et phobique, une capitaine de gendarmerie aguerrie à tous les sports dangereux et motarde sans peur, mais pas forcément sans reproche, des méchants formidablement méchants, pervers, retors, malins, ficelles, anguilles, comme on les aime...et un tas de personnages secondaires à la Vargas -c'est un compliment!- pleins de failles et d'humanité, des faux méchants, des vrais, des faux gentils,des vrais... tout ce qu'il faut pour se perdre en conjectures, presque jusqu'au bout!...
Ne comptez pas sur moi pour vous dire qu'il s'agit d'une vengeance recuite qui tout à coup explose dans le théâtre blanc et .."Glacé" de l'hiver, que tous les personnages ont des secrets qui les minent, des passés lourds, et que s'il y a un point commun entre eux tous,, c'est que l'adolescence est loin d'être , pour eux, le plus bel âge de la vie...
Le thriller montagnard de Bernard Minier a tout pour vous empêcher efficacement de dormir: des crimes en série, des mises en scène macabres et gores à souhait, des lieux impressionnants -une vieille usine électrique souterraine, une colo'sinistre et abandonnée, un hôpital de haute sécurité pour fous furieux et homicides, des petites vallées étroites et humides, des villages pleins de secrets et de violence cachée sous le tapis- mais surtout l'HIVER, glacial, comme il se doit, plein de neige, de frimas, de glace qui se détache, d'avalanches qui déferlent, de routes qui verglacent, de brouillards qui vous avalent...Brrr...
J'allais oublier les personnages, franchement réussis: un commandant de police traumatisé et phobique, une capitaine de gendarmerie aguerrie à tous les sports dangereux et motarde sans peur, mais pas forcément sans reproche, des méchants formidablement méchants, pervers, retors, malins, ficelles, anguilles, comme on les aime...et un tas de personnages secondaires à la Vargas -c'est un compliment!- pleins de failles et d'humanité, des faux méchants, des vrais, des faux gentils,des vrais... tout ce qu'il faut pour se perdre en conjectures, presque jusqu'au bout!...
Ne comptez pas sur moi pour vous dire qu'il s'agit d'une vengeance recuite qui tout à coup explose dans le théâtre blanc et .."Glacé" de l'hiver, que tous les personnages ont des secrets qui les minent, des passés lourds, et que s'il y a un point commun entre eux tous,, c'est que l'adolescence est loin d'être , pour eux, le plus bel âge de la vie...
