Après tout, même les gens inoffensifs ont besoin de contacts et il y a toujours le risque que ça barde ou que ça fasse des étincelles qui mettent le feu aux poudres.
C’est une belle idiotie de dresser des équipes d’enfants les unes contre les autres, ça entretient un état d’esprit tout à fait indésirable. Et si cela suscite ce genre de réaction chez les professeurs, moins on en dira en faveur de ces sports, mieux ce sera.
Pas si facile, vous savez! Faut une extraordinaire volonté pour se coller la tête dans une bassine d’eau et l’y laisser jusqu’à ce que mort s’ensuive.
C’est un paresseux, comme tous les vrais artistes, et il ne veut pas répéter mais, le jour du spectacle, il tire toujours son épingle du jeu.
Le monde d’une école est si restreint que la moindre perturbation, aussi minime soit-elle, le moindre problème, même momentané, prend des allures de présage tout à fait démesurées par rapport à sa signification réelle.
L’individu d’abord, l’esprit d’équipe ensuite.
Le grand désavantage de vouloir ravaler les sports au second rang de la vie scolaire au lieu de leur accorder la priorité, c’est qu’il est excessivement difficile de trouver à les remplacer de manière adéquate, surtout quand on a affaire à des adolescents.
Dans les écoles anglaises, surtout les public schools, le prefect est un élève des grandes classes, choisi pour ses qualités personnelles et scolaires, et chargé de faire respecter la discipline parmi ses condisciples