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Critique de dezecinte
Ca y est, me voilà bien entré dans Modiano. J'avais peu apprécié (trop décontenancé?) la place de l'étoile, beaucoup aimé la ronde de nuit, et j'ai adoré ce troisième volet qui parachève de la trilogie. Style simple mais subtil, humour discret mais parfois désopilant (le père du narrateur agressé par des philatélistes en furie), promenades parisiennes tant précises que nostalgiques, le tout baignant dans une mélancolie flirtant avec le désespoir, mais d'une constante élégance.
