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Critique de LegangdeslecteursDORE
le livre s'intitule Alice, il a été écrit par David Moitet et illustré par Gildas Joulain. Ce roman d'aventure a été publié en 2019.
Dans un premier temps, cet ouvrage m'a plu, car on ne s'attendait pas à ce qu'Alice soit une intelligence artificielle. Pendant un long moment le lecteur pense qu'Alice est humaine. Ainsi on est surpris à l'annonce de la véritable identité de la directrice de l'école. C'est donc à la page 114 que l'on apprend qui est Alice : “ Alice n'est pas une humaine. C'est une intelligence artificielle “.
Par contre, je n'ai pas aimé le fait que l'auteur ait utilisé beaucoup de vocabulaire basé sur l'informatique. Je ne conseille pas ce roman à un lecteur qui ne s'y connaît pas trop en informatique cela peut être lassant pour lui. Voici un des passages : “Elle s'est entourée de tellement de pare-feu… Et ce temps lui permettra de mettre au point un antivirus… il faudrait attaquer simultanément la mémoire centrale et ses extensions sur le réseau ? »
J'ai bien aimé la fin inattendue, car on est certain qu'Alice est détruite par la bande de Sam mais en fait elle s'est réintroduite dans l'ordinateur d'un petit garçon pour reprendre le contrôle du monde. En effet, Alice s'adresse au garçon en lui faisant du chantage. (p.160-161). Elle va l'aider mais à une condition : de ne pas rebrancher internet.
Ce roman est plaisant à lire, car il y a des effets de surprise : le lecteur est convaincu qu'Alice est humaine alors qu'on apprend par la suite que c'est une IA. Et la fin est toute aussi surprenante ; on est certain qu'Alice est détruite mais finalement elle réapparaît. le point qui m'a déplu est l'emploi de vocabulaire informatique qui se répète tout au long de l'oeuvre. Ce livre a beaucoup de points communs avec le roman qui s'intitule “ Mémo 657“(Thierry Robberecht). le sujet traite aussi de la manipulation d'élèves dans une école afin de prendre le contrôle du monde.
Dans un premier temps, cet ouvrage m'a plu, car on ne s'attendait pas à ce qu'Alice soit une intelligence artificielle. Pendant un long moment le lecteur pense qu'Alice est humaine. Ainsi on est surpris à l'annonce de la véritable identité de la directrice de l'école. C'est donc à la page 114 que l'on apprend qui est Alice : “ Alice n'est pas une humaine. C'est une intelligence artificielle “.
Par contre, je n'ai pas aimé le fait que l'auteur ait utilisé beaucoup de vocabulaire basé sur l'informatique. Je ne conseille pas ce roman à un lecteur qui ne s'y connaît pas trop en informatique cela peut être lassant pour lui. Voici un des passages : “Elle s'est entourée de tellement de pare-feu… Et ce temps lui permettra de mettre au point un antivirus… il faudrait attaquer simultanément la mémoire centrale et ses extensions sur le réseau ? »
J'ai bien aimé la fin inattendue, car on est certain qu'Alice est détruite par la bande de Sam mais en fait elle s'est réintroduite dans l'ordinateur d'un petit garçon pour reprendre le contrôle du monde. En effet, Alice s'adresse au garçon en lui faisant du chantage. (p.160-161). Elle va l'aider mais à une condition : de ne pas rebrancher internet.
Ce roman est plaisant à lire, car il y a des effets de surprise : le lecteur est convaincu qu'Alice est humaine alors qu'on apprend par la suite que c'est une IA. Et la fin est toute aussi surprenante ; on est certain qu'Alice est détruite mais finalement elle réapparaît. le point qui m'a déplu est l'emploi de vocabulaire informatique qui se répète tout au long de l'oeuvre. Ce livre a beaucoup de points communs avec le roman qui s'intitule “ Mémo 657“(Thierry Robberecht). le sujet traite aussi de la manipulation d'élèves dans une école afin de prendre le contrôle du monde.
