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Critique de Cronos
Un thème récurrent dans ma bibliothèque, encore récemment avec Mourir à 10 ans qui me marque encore. Ici le suicide est abordé via l'Histoire et les âges, de l'Antiquité au XXème siècle.
La mort est tantôt symbolique, tantôt signe de désespoir, ce sont tous des noms connus. Les femmes y ont une bonne place, presque également à celle des hommes, le malheur touche tout le monde sans distinction. Les faits étant lointains ou romancés, le tragique de l'acte atteint moins et l'auteur a choisi de ne pas faire dans le dramatique, au final le livre est moins triste que ce à quoi je m'attendais.
Quelques extraits de livre, des poèmes et gravures viennent illustrer (et aussi rappeler) les propos, j'ai trouvé cette lecture intéressante mais sans plus, la plupart des cas étant connus ou une recherche simple les fait connaître, n'ayant pas non plus droit à une grande analyse, on reste en surface. A la limite il peut servir d'introduction sur un essai plus poussée comme pour le suicide de Durkheim.
La mort est tantôt symbolique, tantôt signe de désespoir, ce sont tous des noms connus. Les femmes y ont une bonne place, presque également à celle des hommes, le malheur touche tout le monde sans distinction. Les faits étant lointains ou romancés, le tragique de l'acte atteint moins et l'auteur a choisi de ne pas faire dans le dramatique, au final le livre est moins triste que ce à quoi je m'attendais.
Quelques extraits de livre, des poèmes et gravures viennent illustrer (et aussi rappeler) les propos, j'ai trouvé cette lecture intéressante mais sans plus, la plupart des cas étant connus ou une recherche simple les fait connaître, n'ayant pas non plus droit à une grande analyse, on reste en surface. A la limite il peut servir d'introduction sur un essai plus poussée comme pour le suicide de Durkheim.
