Je viens de lire une énième apologie de la prose de
Nadine Monfils et j'avoue en rester pantois comme je l'avais déjà signifié ici à propos d'une autre de ses fadaises.
Mais après tout chacun sa sensibilité.
En revanche un argument récurrent chez les laudateurs de l'auteure me reste en travers de la gorge, c'est la référence au regretté
Frédéric Dard.
Pour moi cette comparaison est une insulte au père de
San Antonio.
Frédéric Dard n'était pas toujours génial mais le plus faiblard des
San-Antonio plane bien au-dessus des grotesques niaiseries de
Nadine Monfils.
Commenter  J’apprécie         112