J'avoue avoir été particulièrement choqué par la fin. Voilà un jeune homme d'un quartier qui se lie d'amitié avec un unijambiste en fauteuil roulant qui lui crachera dessus toute sa haine. Cela ne donne pas vraiment envie d'être gentil avec les handicapés ou d'avoir un peu de compassion en les emmenant à la mer pour se changer les idées. J'avoue ne pas comprendre cette crise existentialiste.
Par ailleurs, dans le cas présent, la personne concernée l'a vraiment un peu cherché à force de jouer avec la mort dans des jeux débiles pour prouver sa virilité. Voilà où cela peut mener sans être particulièrement moralisateur. Mais bon, on ne peut pas se taire devant tant de cynisme. Une bd presque malsaine.
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