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Critique de Fortuna
Quand l'automne pointe son nez à la petite station balnéaire de Melancholy Cove poussant les touristes à déserter ses plages, ses habitants retrouvent enfin le calme de leur mélancolique routine…Mais cette année-là il en est autrement, le vent automnal ayant ramené à sa suite une série d'évènements pour le moins inquiétants…
Un lézard géant réveillé du fond des mers par une fuite radioactive se met à répandre sur le patelin des ondes de lubricité alors qu'une suicidée pas si dépressive que ça est retrouvée pendue. L'excitation est à son comble à Melancholy Cove. Catfish, un bluesman de passage va perdre le blues en tombant amoureux d'Estelle, une veuve éplorée qui en retrouve sa jeunesse, le pharmacien rêve de s'unir à des animaux marins, la barwoman bionique, Mavis, règne d'une main de fer, pendant que Molly, une ancienne actrice de séries Z, vêtue d'un bikini en cuir noir et armée d'une épée tombe sous le charme du dragon à la langue très agile…qui est venu échouer à côté de sa caravane.
Autant dire que Val la psychiatre a fort à faire et un carnet de rendez-vous bien rempli. D'autant que des doutes la hantent concernant les effets pervers des antidépresseurs sur ses patients…Quant au biologiste Gabe, il trouve que ses rats de laboratoire prennent un drôle de chemin…
Depuis que le corps de Besse a été retrouvé pendu, puis que le monstre a déclenché une explosion dans une station-essence en prenant un camion-citerne pour une femelle en chaleur, le flic de service, Theophile Crowe, est lui aussi très occupé et n'éprouve plus le besoin de son herbe quotidienne…Il se passe décidément des choses étranges à Melancholy Cove.
Puis un gamin disparaît. Des illuminés ont une révélation, voulant s'offrir en sacrifice au lézard lubrique. Des couples s'attirent et s'accouplent à des rythmes effarants. Quelques trafiquants de drogue terminent engloutis dans la gueule du géant.
Un roman délirant, plein d'humour, qui nous entraine à un rythme effréné dans les délires les plus loufoques sans éveiller ni doutes ni lassitude…On se prend même à éprouver une certaine tendresse pour cette créature monstrueuse car finalement le plus cruel de tous n'est pas forcément celui que l'on croit. Et au final l'amour s'avère être un excellent remède contre la dépression !
Un lézard géant réveillé du fond des mers par une fuite radioactive se met à répandre sur le patelin des ondes de lubricité alors qu'une suicidée pas si dépressive que ça est retrouvée pendue. L'excitation est à son comble à Melancholy Cove. Catfish, un bluesman de passage va perdre le blues en tombant amoureux d'Estelle, une veuve éplorée qui en retrouve sa jeunesse, le pharmacien rêve de s'unir à des animaux marins, la barwoman bionique, Mavis, règne d'une main de fer, pendant que Molly, une ancienne actrice de séries Z, vêtue d'un bikini en cuir noir et armée d'une épée tombe sous le charme du dragon à la langue très agile…qui est venu échouer à côté de sa caravane.
Autant dire que Val la psychiatre a fort à faire et un carnet de rendez-vous bien rempli. D'autant que des doutes la hantent concernant les effets pervers des antidépresseurs sur ses patients…Quant au biologiste Gabe, il trouve que ses rats de laboratoire prennent un drôle de chemin…
Depuis que le corps de Besse a été retrouvé pendu, puis que le monstre a déclenché une explosion dans une station-essence en prenant un camion-citerne pour une femelle en chaleur, le flic de service, Theophile Crowe, est lui aussi très occupé et n'éprouve plus le besoin de son herbe quotidienne…Il se passe décidément des choses étranges à Melancholy Cove.
Puis un gamin disparaît. Des illuminés ont une révélation, voulant s'offrir en sacrifice au lézard lubrique. Des couples s'attirent et s'accouplent à des rythmes effarants. Quelques trafiquants de drogue terminent engloutis dans la gueule du géant.
Un roman délirant, plein d'humour, qui nous entraine à un rythme effréné dans les délires les plus loufoques sans éveiller ni doutes ni lassitude…On se prend même à éprouver une certaine tendresse pour cette créature monstrueuse car finalement le plus cruel de tous n'est pas forcément celui que l'on croit. Et au final l'amour s'avère être un excellent remède contre la dépression !
