L'auteur revient sur les 34 années pendant lesquelles il a été régisseur de l'Olympia.
Il m'est impossible de citer tous les artistes qui peuplent cet ouvrage.
L'auteur a aujourd'hui 90 printemps et parfois, il évoque un temps que mon âge (pourtant respectable) ne me permet pas de connaitre, mais peu importe ! Tous ces artistes ont vu leur nom en rouge sur la façade du 28 boulevard des capucines (clin d'oeil repris sur la couverture).
Doudou MORIZOT les a vu tous débuter et évoluer ; aujourd'hui, il raconte et pas forcément avec une plume rose (Cf Dalida,
Polnareff, le Luron, Claude François, Bécaud…).
Quelle vie extraordinaire (au sens premier du terme) faite de rencontres toutes plus incroyables les unes que les autres : et pourtant le chapitre que j'ai le plus apprécié est celui où l'auteur raconte l'avant Olympia, ses années de débrouilles jusqu'à la rencontre de Monsieur BOUGLIONE qu'il nomme « Les impôts de la vie »… peut-être parce qu'il y parle de lui, ce qui finalement semble le plus intéressant, par rapport à toutes ces vedettes sur lesquelles tant de pages ont déjà été écrites.
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