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Critique de Domichel
Un livre perdu dans ma jeunesse (sans doute un prêt ou un déménagement), à l'époque où les parents n'accordaient que peu d'intérêt aux BD.
Grâce aux opérations “une BD à 5 euros” pendant les soldes, je suis retombé dessus et l'ai racheté aussitôt. Un vrai régal, comme un morceau d'enfance qui remontait.
Écrit en 1963, cet album n'a pas vieilli. Des traits d'esprit chers à Goscinny qui oeuvrait déjà pour Astérix, on retrouve des allusions aux références d'alors sur la police montée canadienne, l'humour très british, le respect de cette police par les vieux trappeurs buveurs et parieurs… Un Lucky Luke le mégot à la bouche qui n'avait rien fait pour m'inciter au tabac, les Dalton résolument stupides qui font quatre trous dans la muraille pour s'évader alors qu'un seul aurait suffi, et d'un bout à l'autre de l'album, une performance inouïe de Rantanplan qui rivalise de bêtise avec les quatre précédents.
Un vrai moment de franche rigolade sans se prendre la tête avec des invraisemblances qui font partie du décor et qui font l'âme de la BD d'alors.
À lire et à relire…
Grâce aux opérations “une BD à 5 euros” pendant les soldes, je suis retombé dessus et l'ai racheté aussitôt. Un vrai régal, comme un morceau d'enfance qui remontait.
Écrit en 1963, cet album n'a pas vieilli. Des traits d'esprit chers à Goscinny qui oeuvrait déjà pour Astérix, on retrouve des allusions aux références d'alors sur la police montée canadienne, l'humour très british, le respect de cette police par les vieux trappeurs buveurs et parieurs… Un Lucky Luke le mégot à la bouche qui n'avait rien fait pour m'inciter au tabac, les Dalton résolument stupides qui font quatre trous dans la muraille pour s'évader alors qu'un seul aurait suffi, et d'un bout à l'autre de l'album, une performance inouïe de Rantanplan qui rivalise de bêtise avec les quatre précédents.
Un vrai moment de franche rigolade sans se prendre la tête avec des invraisemblances qui font partie du décor et qui font l'âme de la BD d'alors.
À lire et à relire…
