Ceux qu'on aime

[...] Steve Mosby signe un polar haletant avec "Ceux qu'on aime", et tellement ancré dans notre époque qu'il en fait parfois froid dans le dos.

C'est une histoire qui pourrait se passer dans n'importe quelle grande ville (aucune ville n'est d'ailleurs citée dans le récit, et les lieux ne semblent se rapporter à aucune cité britannique spécifique...), n'importe quand et qui pourrait presque concerner n'importe qui à l'heure où l'on communique de plus en plus par sms et par mail, à l'heure où les lettres manuscrites se font de plus en plus rares et où, moi la première, je décroche de moins en moins mon téléphone et envoie de plus en plus de messages virtuels... [...]

Ce polar m'a rappelé les romans que j'ai pu lire d'Alex Barclay : des histoires qui se mettent tranquillement en place et qui rassemblent tous les ingrédients pour nous tenir en haleine jusqu'à la chute finale... Cette chute finale, ce dénouement, j'en avais envisagé beaucoup d'autres pour Ceux qu'on aime, mais j'avoue que celui que nous propose l'auteur m'avait à peine effleuré... [...]
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