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Critique de sld09
J'ai adoré ce roman où on retrouve le meilleur de Jojo Moyes : une grande saga riche en émotions avec des personnages très attachants, le tout très bien raconté.
Le Vent Nous Portera, c'est d'abord une grande fresque historique qui évoque une période, une région et un fait historique peu connus du grand public : les bibliothèque itinérantes dans le Kentucky des années 1930. Je trouve géniale l'idée de porter les livres auprès de populations défavorisées ou isolées pour leur donner accès à la culture (ou même juste à la lecture pour certains). Surtout qu'il ne s'agit pas de parcourir tranquillement les routes en bibliobus, mais il est ici question de femmes qui doivent chevaucher en toutes saisons et sous tous les temps dans les montagnes reculées du Kentucky pour être accueillies plus ou moins chaleureusement par les habitants.
Le roman est aussi une belle histoire d'amitié entre des femmes d'horizons a priori différents mais qui ont toutes en commun de ne pas se conformer au carcan décidé par la "bonne société" qui voudrait qu'elles ne soient que de bonnes épouses se consacrant à leur foyer et leur famille dans le respect des bonnes moeurs (étriquées) de l'époque. Idées féministes, antécédents familiaux troubles, couleur de peau ou simple désir d'un tout petit peu de liberté suffisent pour se voir devenir l'objet de toutes les médisances voire même d'être mises au ban de la société. Même si le contexte est très différent, ce "portrait de groupe" m'a un peu rappelé Les Fiancées du Pacifique, le premier roman de Jojo Moyes que j'ai lu, il y a déjà six ans...
Outre l'histoire d'amitié, le roman fait également la part belle à l'amour (des déceptions, des rencontres, des hésitations,...) et au suspense (lorsque les jeunes femmes se retrouvent en danger, sur le départ, amoureuses, en prison, enceinte, etc). Enfin bref, il y a tout ce qu'il faut pour tenir le lecteur en haleine, y compris des personnages attachants tant parmi les héroïnes que parmi les personnages secondaires, nombreux et hauts en couleurs, qui contribuent à donner de l'épaisseur à l'intrigue.
Le Vent Nous Portera, c'est d'abord une grande fresque historique qui évoque une période, une région et un fait historique peu connus du grand public : les bibliothèque itinérantes dans le Kentucky des années 1930. Je trouve géniale l'idée de porter les livres auprès de populations défavorisées ou isolées pour leur donner accès à la culture (ou même juste à la lecture pour certains). Surtout qu'il ne s'agit pas de parcourir tranquillement les routes en bibliobus, mais il est ici question de femmes qui doivent chevaucher en toutes saisons et sous tous les temps dans les montagnes reculées du Kentucky pour être accueillies plus ou moins chaleureusement par les habitants.
Le roman est aussi une belle histoire d'amitié entre des femmes d'horizons a priori différents mais qui ont toutes en commun de ne pas se conformer au carcan décidé par la "bonne société" qui voudrait qu'elles ne soient que de bonnes épouses se consacrant à leur foyer et leur famille dans le respect des bonnes moeurs (étriquées) de l'époque. Idées féministes, antécédents familiaux troubles, couleur de peau ou simple désir d'un tout petit peu de liberté suffisent pour se voir devenir l'objet de toutes les médisances voire même d'être mises au ban de la société. Même si le contexte est très différent, ce "portrait de groupe" m'a un peu rappelé Les Fiancées du Pacifique, le premier roman de Jojo Moyes que j'ai lu, il y a déjà six ans...
Outre l'histoire d'amitié, le roman fait également la part belle à l'amour (des déceptions, des rencontres, des hésitations,...) et au suspense (lorsque les jeunes femmes se retrouvent en danger, sur le départ, amoureuses, en prison, enceinte, etc). Enfin bref, il y a tout ce qu'il faut pour tenir le lecteur en haleine, y compris des personnages attachants tant parmi les héroïnes que parmi les personnages secondaires, nombreux et hauts en couleurs, qui contribuent à donner de l'épaisseur à l'intrigue.
