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sur 890 notes
Simple a 22 ans et 3 ans d'âge mental. Kléber, son frère, a 17 ans. Il l'a retiré de Malicroix, l'institution où il dépérissait. C'est lui, désormais, qui s'occupera de son grand frère, puisque leur père refuse ses responsabilités. « Car le petit était le grand et le grand était le petit. » (p. 190) C'est beaucoup de responsabilité pour Kléber qui, s'il a conscience du sacrifice et du travail que cela représente, n'accepte pas de voir son frère s'éteindre dans un centre aux allures de prison. « Kléber avait cet espoir, assez répandu chez les jeunes gens, que les problèmes se réglaient d'eux-mêmes si on évitait d'y penser. » (p. 137) le quotidien n'est pas facile quand on est jeune : il y a les études, les filles les premiers émois. Il l'est encore moins quand il faut s'occuper d'un déficient mental. « Il ambitionnait les classes préparatoires, puis une grande école. Et il traînait après lui une espèce de monstre. Son frère Simple – de son vrai nom Barnabé –, qui croyait que les lapins en peluche sont vivants. » (p. 14) Car le meilleur ami de Simple, c'est Monsieur Pinpin, une peluche usée, ravaudée, adorée, qui est le transfert des peurs et des douleurs du jeune homme. Simple et Kléber s'installent dans une colocation d'étudiants. D'abord méfiants, Enzo, Corentin, Aria et Emmanuel finissent par ouvrir leur logement et leur coeur aux deux garçons. Dans cet appartement où les portes claquent souvent et où les briquets disparaissent, les coeurs se forment à la tendresse et à l'amour.

J'ai pleuré à gros bouillons et plusieurs fois en lisant ce roman jeunesse. Il est impossible d'être insensible à l'humour et à l'émotion de ce texte. Les personnages sont frais, attachants et proches. Simple ne peut pas être réduit à sa condition d'idiot. « C'était un jeune homme frêle, avec des cheveux désordonnés et des yeux comme des lanternes magiques où passent des princes et des pirates, des licornes et des farfadets. » (p. 81) Même s'il enchaîne les petites bêtises et les grosses conneries, il introduit la magie et la joie dans le quotidien de Kléber et de la coloc. On s'en moque, que les lapins en peluche ne parlent pas. Si on le souhaite assez fort, les peluches sont animées et nous défendent dans nos rêves. « Monsieur Pinpin, il pète la gueule. » (p. 14) Au début, je trouvais peu crédible qu'un adolescent de 17 ans obtienne la garde de son grand frère déficient mental. La suite du texte s'est chargée de remettre les pendules à l'heure. J'ai apprécié que l'auteure ne fasse pas de Kléber un saint éternellement patient et compréhensif. le garçon est jeune et souvent dépassé par la situation. « Je vais te perdre dans un bois, j'en peux plus de toi ! » (p. 85) Ça ne rend que plus touchant le lien indestructible qui unit les deux frères. Les autres personnages du roman sont également bien construits, sans clichés ni fausse morale. Dans son texte, Marie-Aude Murail célèbre les élans de la jeunesse, les explosions de désir et les jeux où on fait comme si.

Simple est un très beau roman pour la jeunesse et pour tous les âges. Allez, j'avoue tout. J'ai lu ce bouquin avec le nez collé contre les oreilles en peluche de mon lapin à moi.
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Un des livres que ma fille devait lire pour son entrée en 4ème.

Un livre sur le handicap mental, sur l'acceptation de la différence, sur le vivre ensemble.

Il y a des moments très drôles. Je suis certaine qu'un film pourrait être réalisé à partir d'une telle histoire.

Monsieur Pimpim restera dans ma mémoire.
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Abandon pour cause de clichés.
Non, décidément non, je ne supporte pas ce genre de romans aux clichés relou. Oui, ça partait d'un bon sentiment, faire connaître le handicap et les situations difficiles qu'il engendre. Mais bon, on peut en parler sans tomber dans la guimauve. C'est dégoulinant de bons sentiments et truffé d'images vues, revues et même pas corrigées...
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Ces derniers jours, j'ai fait une descente dans mes livres d'adolescence, voire d'enfance comme ça m'arrive parfois quand je me sens un peu nostalgique où que j'ai envie de remonter le temps. A une chose au moins, cet énième confinement est bon! C'est ainsi que j'ai récolté une petite pile de romans qui viennent grossir la tour de Pise que constituent tous les livres que j'ai à lire.
Tonneau des Danaïdes: la Tour de Pise finira Tour Eiffel.

J'avais oublié "Simple" alors que je l'avais adoré à l'époque et à présent que je viens de le relire, je me demande bien ce qui a rendu cette amnésie possible tant ce petit roman m'a remuée, touchée. Il se pourrait même que j'ai versé une larme ou deux. Mais pas plus.
Coeur chamallow.

Simple a vingt-deux ans et de grands yeux limpides. Il aime jouer aux playmobils et collectionne les briquets. Il cherche ceux qui se cachent derrière les cadrans de nos montres et aime enluminer les cahiers trop gris des lycéennes trop sages.
Simple a vingt-deux ans pour l'état civil, mais dans sa tête, il n'en a que trois, trois et demi les jours fastes.
Simple est différent. En politiquement correct, on dit "déficient mental". Les imbéciles, eux, disent "débile" ou "abruti" et ceux qui ont du coeur se disent que Simple est un enfant, tout simplement.
Parce que leur mère est morte et que leur père ne les aime pas vraiment, Simple et son petit frère, Kleber, sont livrés à eux-mêmes.
Ce dernier vient d'intégrer le prestigieux lycée Louis le Grand pour y effectuer son année de terminale. du haut de ses dix-sept ans, Kléber est déjà grand: hors de question pour lui de laisser Simple à Malicroix, cette institution qui abîme ses patients à coups de surdoses médicamenteuses, alors, il s'en occupe. Même si c'est dur. Même si c'est trop.
On est en septembre et pour les deux frères, c'est une nouvelle vie qui commence: c'est ainsi qu'ils prennent leurs quartiers dans une colocation étudiante, aux côtés d'Enzo, de Corentin, d'Aria et d'Emmanuel.
Kleber ne pensait pas que la vie serait si compliqué entre les cours, ses histoires de coeur et celles de ses colocataires, la gestion de Simple aussi qui ne manque pas une occasion de faire les bêtises que lui souffle son doudou, son ami, son Monsieur Pinpin un peu sale, un peu déchiré avec ses grandes oreilles et ses idées saugrenues.

Comme souvent, Marie-Aude Murail a su donner naissance avec "Simple" à des personnages profondément humains et attachants, réalistes, tour à tour franchement cocasses ou terriblement poignants. Il en ressort un roman drôle et extrêmement tendre, touchant, en forme d'ode à la différence et à la tolérance et qui, surtout, fait la part belle à l'amitié et à l'idéalisme, au coeur trop grand même et parfois un peu fou, des adolescents.

Une lecture douillette et émouvante, réconfortante comme le chocolat chaud des jours de pluie qui fait d'autant plus de bien qu'elle rend aussi un hommage nécessaire à tous les doudous incompris du monde des adultes qui ne voient souvent en eux qu'un vulgaire chiffon alors qu'en fait, un doudou tient autant de l'ami que du grigri.
Avec Monsieur Pinpin, Marie-Aude Murail a vengé le mien que j'adorais et dont tout le monde riait.
Et qu'on ne me dise pas que le monde ne sait pas qu'il serait plus beau si tous les adultes avaient gardé un peu de leur enfance et de leurs doudous. Vive Monsieur Pinpin!
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J'ai beaucoup aimé Simple de Marie-Aude MURAIL car l'auteur avec un style fluide décrit les difficultés de la vie.

Son personnage de Barnabé Maluri dit Simple regarde avec des yeux d'enfants, pleins d'innocence, une société régit par l'égocentrisme où le différent rebute, comme l'illustre le dégoût de la grande-tante et le rejet du père envers Simple qui n'est dans le fond qu'un enfant dans un corps d'adulte.

Sa vision simple du monde où tout est blanc ou noir contraste avec celle retord et compliquée des autres colocataires. Alors que dans les faits, ce sont pourtant ses actes et ses répliques innocents qui permettent à son entourage de prendre conscience de leurs problèmes et leur donne la possibilité d'avancer. Par exemple en pleine discussion avec Simple sur les méfaits du tabac, Corentin décide d'arrêter de fumer en faisant le rapprochement entre son oncle mort d'un cancer du poumon et lui-même qui consomme deux paquets par jour.

De plus, loin d'avoir écrit un roman lourd et pesant comme on pourrait s'y attendre, Marie-Aude MURAIL a donné naissance à une histoire pleine d'humour, notamment grâce à la présence de Monsieur Pinpin qui pousse toujours Simple à faire des bêtises et à celle de Monsieur Villededieu, voisin de la collocation, qui se faisant conseiller matrimonial d'Enzo, incite ce dernier à conquérir la belle Aria de quelques manières que ce soit.

En bref, un roman pour enfants conseillé aux adultes aveugles.
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Encore un récit tout doux qui n'a fait que confirmer à quel point l'écriture de Marie-Aude Murail me charme.

Kléber, dix-sept ans, et Barnabé, vingt-deux ans, viennent s'installer à Paris. Leur mère est décédée et leur père est trop occupé pour se préoccuper de ses fils : il s'est remarié et sa nouvelle compagne est enceinte.
C'est d'ailleurs pourquoi il avait placé son fils ainé, aussi surnommé Simple, à l'institut Malicroix.
Pourquoi cela ? Parce que Simple, s'il est né il y a vingt-deux ans de cela, n'a que trois ans d'âge mental. Cependant, Kléber ne supportant pas de savoir son frère enfermé à Malicroix, il l'a pris à sa charge.
Après avoir clairement constaté qu'il ne serait pas possible de rester vivre chez leur tante, les deux frères Maluri s'installent dans une colocation. Et alors, tout commence...

Comme d'habitude, tendresse, douceur, originalité et inattendus sont au rendez-vous. Marie-Aude Murail n'a pas son pareil pour créer des personnages attachants ou attendrissants, que ça soit Simple qui joue avec son doudou lapin (appelé Monsieur Pinpin) ou le voisin grincheux, M. Villededieu, qui finit par conseiller Enzo, l'un des colocs, sur le plan amoureux.
Très émue par ce roman, je m'en vais quérir un autre de la même auteure ! Après Sauveur et fils, Oh, boy ! et Simple, je ne vais pas m'arrêter...
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Amatrice des romans jeunesses (ou ados) de cette auteure, c'est avec plaisir que j'ai emprunté ce roman à la bibliothèque, sans même regarder le résumé !
Je me suis donc retrouvée plongé dans l'histoire sans savoir de quoi ça allait parler, et très rapidement je me suis attaché aux personnages.
Nous avons Kléber, jeune homme de 17 ans qui vient vivre à Paris avec son frère de 22 ans. Leur maman est décédé, le jeune garçon a un petit héritage qui lui permet d'aller dans un bon lycée pour y faire sa terminale.
Il se retrouve à prendre en charge son frère de 22 ans.
Mais à 22 ans, on s'assume pensez vous !
Certes, sauf que Barnabé (dont le surnom est Simple) a trois ans d'age mental, trois ans et demi les bons jours !
Et comme le centre où il avait été mis par leur papa et sa nouvelle épouse n'est pas terrible, Simple refuse d'y retourner !
Les deux frères vont réussir à entrer dans une colocation mais évidemment avec Simple, les choses ne vont pas toujours être .. simples (c'est le cas de le dire !).
C'est un très joli roman pour les adolescents, avec une histoire qui se tient bien, des problèmes d'adolescents et aussi d'adultes.
Elle met bien le doigts sur les difficultés pouvant être rencontrées par les frères (ou soeurs) des déficients mentaux. Soit on les mets en centre soit on s'en occupe, ce qui n'est pas toujours évident !
J'ai été très touchée par ce roman pour les adolescents, qui est aussi à conseiller pour les adultes car c'est une réussite.
Je mets cinq étoiles, et j'ai bien fait de le lire, le hasard a (une fois de plus) bien fait les choses :)
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Barnabé, 22ans est simple d'esprit et son frère cadet Kléber, 17ans refuse de voir son frère malheureux dans l'institution « Malicroix » où leur père l'a placé. Il décide de s'en occuper, malgré la charge prévisible que cela entraînera et l'exercice s'avère en effet difficile, tant l'écart à la norme est mal vu par la majorité des gens qu'il côtoie. Après quelques déconvenues, Kléber et simple sont acceptés comme colocataires par Enzo, Corentin, Aria et Emmanuel. Monsieur Pinpin, le lapin en peluche qui parle est adopté par le lecteur et tous les protagonistes de l'histoire avec humour, tendresse et bonhommie. Cette histoire émouvante, peut-être perçue comme un conte pour enfant, mais aussi comme un constat réaliste de la difficulté à accepter la différence qui touche également toutes les couches de la société.C'est à coup sûr une magnifique ode à la résilience, la tolérance et à l'amour des deux frères.
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Marie-Aude Murail a vraiment le ton juste, je trouve, pour s'adresser aux adolescents. Quoique je dis cela de mon point de vue TRES post-adolescent.

Simple, c'est un jeune garçon, un peu simplet comme son nom l'indique. Enfin c'est un surnom bien sûr. Simplet, c'est très désuet. Aujourd'hui, on dit handicapé. Et même, il faut dire maintenant « en situation de handicap ».

Bon, c'est à double tranchant… vous savez, il ne faut pas stigmatiser, avec certains mots. Mais on se pose la question : qu'est-ce qui est stigmatisant ? le mot employé ou la pensée que l'utiliser, ce mot, est stigmatisant ?

Dans le roman en tout cas, simple est donc un jeune pas si jeune, 22 ans, pris en charge par son frère qui paraît plus vieux alors qu'il est bien plus jeune, puisqu'il est encore mineur. Et c'est ce jeune frère qui appelle son frère « simple » et qui le présente comme débile. Or, il l'aime vraiment. Au point de le prendre en charge plutôt que le laisser à l'institut qui s'occupait de lui et dans lequel il n'était pas heureux.

Ça peut sembler un peu cliché d'ailleurs et je me suis déjà posé la question : comment c'est vraiment, maintenant, dans ce genre d'institut ? Est-ce vivable ? Parce que même avec la meilleure volonté du monde, si vous ne réunissez que des gens à problèmes, avec des problèmes différents mais importants, comment peut-on espérer suffisamment de sérénité pour que la vie soit agréable ?
Je vois déjà certains autistes, qui ne sont pas les cas les plus lourds puisqu'ils ne sont justement pas en institut, avoir des réactions parfois vraiment bruyantes, voire violentes. Certains enfants, atteints de je ne sais quel trouble psychiatrique/psychique/psychologique (ou autre) se rouler par terre, taper sur les tables de manière répétée, se taper la tête contre les murs.
Là aussi c'est à double tranchant : je reste persuadée que pour gérer certains troubles il faut des gens spécialisés, un lieu spécialisé. Mais évidemment, pour certains, être entouré toujours de gens atteints eux aussi de troubles, ça ne doit rien arranger. Et je pense là aussi aux autistes qui sont capables de tant de progrès dans un cadre normal, de progrès dans leur relation aux autres j'entends, mais il est indéniable aussi que pour progresser dans le développement de leur intelligence, il faut qu'ils y soient sollicités, comme tout un chacun. Et ce n'est là qu'un exemple bien sûr.

On peut alors penser que l'inclusion est bénéfique à tous, à condition qu'elle ne soit pas à marche forcée, ni dans le but d'économiser en supprimant des structures coûteuses. On devrait plus facilement proposer des solutions mixtes entre institut spécialisé et milieu ordinaire. Et on ne devrait pas considérer qu'accueillir un jeune handicapé dans une classe ordinaire sans aucun aménagement est souhaitable ni même possible dans de bonnes conditions d'ailleurs. Pour cela, il faudrait aussi que les instituts spécialisés, au lieu de fermer et donc se raréfier, ouvrent au contraire dans de nombreux endroits évitant ainsi de voir des parents refuser le suivi de leur enfant juste parce que le lieu du suivi est à une heure de route non desservie par les transports, parce que la seule solution pour accéder à certaines places spécialisées est l'internat et que parfois les parents ne sont pas prêts à cela.
Bref, revenons au livre parce que c'est sujet inépuisable.

Kléber (c'est le petit frère qui se comporte comme un grand) croit avoir une bonne idée en cherchant une colocation pour eux deux. Indéniablement, c'est Marie-Aude Murail qui a eu une bonne idée. On ajoute ainsi d'autres jeunes, avec leurs préoccupations de jeunes qui ne manqueront pas d'intéresser les ado qui lisent ce livre. On confronte aussi le handicap à différents regards, histoire de faire réfléchir un peu en faisant tomber quelques idées reçues.

Il y a quelques situations improbables dans cette histoire mais il me semble que cela ne lui nuit pas.

Un livre utile, distrayant et intéressant. de la littérature.
Alors au suivant !

Lien : https://chargedame.wordpress..
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Kléber a 17 ans, est un excellent élève et va intégrer le prestigieux lycée parisien Henri IV pour effectuer son année de terminale. Mais assurant la responsabilité de son frère déficient mental, Il est plus que jamais déjà adulte. Son frère s'appelle Barnabé mais tout le monde l'appelle « Simple ». Il a la mentalité d'un enfant de 3 ans alors qu'il est grand et qu'il a 22 ans. Kléber et Simple ont perdu leur mère ; leur père, voulant vivre tranquillement avec sa nouvelle femme, est pour le placement de Simple dans une institution spécialisée. Simple est déjà allé à Malicroix et il ne s'y sent pas bien. C'est pourquoi Kléber préfère s'en occuper à plein temps.

C'est donc dans ce contexte que Kléber, d'abord logé chez la grande tante qui pue selon Simple, va chercher une colocation pour son frère et lui. le lecteur va alors faire la connaissance d'Enzo, un gentil paumé, Aria dont il est amoureux alors qu'elle est en couple avec Emmanuel, étudiant en médecine comme elle. Il y a aussi Corentin, frère d'Aria et meilleur pote d'Enzo. Tout ce petit monde, sauf Emmanuel qui reste froid, va s'attacher à Simple, alors même qu'il représente une charge pour chacun car il ne peut rester sans surveillance. Ce sont d'ailleurs ces moments qui sont très drôles dans le livre. Malgré les sujets sérieux abordés dans le roman, j'ai ri à gorge déployée quand Simple a reçu Mme Sossio et quand il se fait passer pour Corentin au téléphone.
J'ai en revanche été un peu perturbée au début de ma lecture car je n'avais pas compris que Monsieur Pinpin, le lapin en peluche de Simple, « parlait » comme les autres personnages.

A l'exception de Béatrice, un temps petite copine de Kléber, et d'Emmanuel, les personnages sont attachants, y compris le vieux voisin du dessous et la famille généreuse de Zahra. J'ai aimé ce roman mais j'ai été plus touchée par Oh! Boy.
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