Je me souviens avoir été assez déçu par ces pseudo-nouvelles, de circonstance. A part pour quelques romans, je doute souvent de la sincérité de
Haruki Murakami. Profitant du célèbre tremblement de terre de Kobe en 1995 qui causa environ 5000 morts et détruisit, une fois de plus, une grande partie du port et de la ville, déjà ravagés lors de la seconde guerre mondiale, Murakami en « extrait » des états d'âme sur la vie, sur la précarité de l'existence, à travers les impressions de ses personnages. A force d'effleurer le réel, de rester en surface, l'auteur n'est pas parvenu à véritablement m'intéresser à ces narrations.
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