AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de Hugo


- Seras-tu là bébé ?
- Pour la vie …

Promesses chimériques au gout d'un romantisme cupidesque, le prince qui délivre la princesse, bravant les illusions hédonistes qui ont bercé le fond de son calbute durant toute sa pucellerie... le prince, les couilles pleines s'en va guerroyer la vie, conquérir les terres vierges de toute orgie, impatient, il s'entraine chaque soir, le coup de main aguerri il s'emploie à imaginer ce que sera l'amour, le vrai, celui qui nique toute raison, qui envoute, qui vous brise la virilité d'un coup de bite bien visé, sans vraiment comprendre ce qui va lui tomber sur le coin de la gueule, papillons à la con qui vous gratouillent l'entre jambes jusqu'au levé lubresque de cette fille aux couleurs d'ébène, à l'accent des terres du Sud , au saveurs exotiques qui emportent son innocence dans les effluves d'une passion à la luxure bandante d'humidité, coulante de désir enivrant, ils s'apprivoisent par des regards, des sourires, des caresses, il est devenu aussi fragile que sa maladresse, par ou commencer, toute cette grâce, il n'a « queue » deux mains, comment assouvir les rêves de cette princesse qu'il vient de défroquer, il a un doute :

« A-t'il bien garé son cheval blanc ? »

Elle s'approche son corps du s(i)ein nue, excités de toute leur intimité empruntée, la chaleur des corps s'attirent, alors elle prend sa main, croisant leurs doigts dans un mélange de curiosité, il la trouve magnifique, ils esquissent leur candeur dans cette timidité juvénile, ils se sont choisis pour toucher les étoiles, effleurer les plaisirs charnelles, il leur faudra du temps pour s'apprivoiser dans ces plaisirs au combien délicieux…

Alors ils s'allongent, se cognent, se marrent de cette gêne bientôt délivrée, il prend le temps d'aller vite, le papillon veut s'envoler vers des contrés imaginées depuis si longtemps qu'il en devient entreprenant, glissant ses doigts à l'agilité infantile, pénétrant d'un touché maladroit, elle ferme ses yeux, emportée par celui qu'elle a choisi, elle respire de mille jouissances, dans la douleur d'une première fois, ils s'embrassent, mélanges de langues et de salives, c'est bon, c'est l'oubli intemporel, emportés dans cette folie que la religion condamne mais que la raison assouvie…

Ils n'oublient pas qu'il faut se protéger d'un latex qui unira leurs deux corps dans une danse angélique, c'est compliqué de trouver le sens, elle s'avère avec plus de dextérité, roulant sa main sur l'inconnu, il respire fort à présent, et pénètre avec attention, lui caresse les lèvres de sa langue, il galère à trouver le point du désir, heureusement elle est là pour le guider, c'est douloureux, alors elle serre les dents, il s'inquiète, ralenti , elle lui caresse cheveux qu'il perdra, le rassure lui susurre un je t'aime qui tombe au d'effleurage consentie…

À ce moment précis, ils sont comblés dans la jouissance de l'un et la douleur de l'autre, un jour il trouvera l'épine du plaisir qu'il caressera de sa langue qu'il chatouillera de ses doigts avec douceur… mais aujourd'hui ils se cherchent, se découvrent et s'enivrent…

Les voilà tous deux allongés l'un contre l'autre, à se marrer, se promettant mille illusions d'adolescents, loin des réalités d'une vie qui va se jouer à deux, mais avec amour sincère parce que c'est là que tout prend son sens, que les tabous s'affessent, que la complicité se luxure d'orgasmes à la fellation langoureuse, et au minou savoureux…

Prenez-vous la main, promettez-vous avec naïveté, les mensonges s'accompagneront d'épreuves à la con qu'il vous faudra traverser sans vous retourner sur un passé parfois douloureux, mais souvent heureux, aimez-vous à en perdre la raison, aspirez, avalez, pénétrez à en perdre le souffle et dites-vous qu'un jour le prince et la princesse auront disparus, mais l'amour lui est éternelle surtout quand on baise en fait….

A plus les copains

- Seras-tu là ?
- A jamais…

Nota : Pour le roman, bah c'est du Musso, c'était il y a longtemps, inutile de me blâmer la connerie, la jeunesse est ce qu'elle est… et depuis j'ai arrêté bordel de merde…
Commenter  J’apprécie          4714



Ont apprécié cette critique (38)voir plus




{* *}