>
Critique de Almaria
Des la première page, on est dans l'horreur, une jeune fille est tuée par son amie Mizuki.
Elle se dénonce, l'affaire est pliée.... Ou presque.
Elle se raconte. Raconte son amitié avec Mako, une amie qu'elle admire, l'opposé d'elle. Lumineuse, joyeuse.
Mizuki, elle est le contraire, effacée et en opposition avec sa mère.
Comment cette jeune lycéenne a pu en arriver a tuer sa meilleure amie ?
On déroulé l'histoire l'amitié, l'admiration (Mako a une sorte de pouvoir sur elle), la relation à la mère.
Mais tout se déclenche avec une scène très violente, glauque horrible (je ne dirais pas plus pour divulguer trop d'informations).
Et les choses s'enchaînent. L'entourage essait de comprendre, d'autres d'enfoncer la jeune fille.
On comprends que tout n'est pas claire. On doute, s'interroge.
C'est vraiment prenant.
Surtout on essaie comme beaucoup, de définir Mizuki : victime oui mais on la sent perdante d'avance, elle accepte,baisse la tête. Et des fois elle nous surprend d'un cri, d'un rire.
J'ai été prise dans l'histoire, le trait de crayon est parfait.
Les jeunes filles sont jeunes, belles et et ça rend le drame plus cruelle. La scène qui déclenche tout est choquante de réalisme et donne envie de vomir.
Pour moi, c'est un premier tome parfait, j'espère ne pas être déçue par les suivants.
Elle se dénonce, l'affaire est pliée.... Ou presque.
Elle se raconte. Raconte son amitié avec Mako, une amie qu'elle admire, l'opposé d'elle. Lumineuse, joyeuse.
Mizuki, elle est le contraire, effacée et en opposition avec sa mère.
Comment cette jeune lycéenne a pu en arriver a tuer sa meilleure amie ?
On déroulé l'histoire l'amitié, l'admiration (Mako a une sorte de pouvoir sur elle), la relation à la mère.
Mais tout se déclenche avec une scène très violente, glauque horrible (je ne dirais pas plus pour divulguer trop d'informations).
Et les choses s'enchaînent. L'entourage essait de comprendre, d'autres d'enfoncer la jeune fille.
On comprends que tout n'est pas claire. On doute, s'interroge.
C'est vraiment prenant.
Surtout on essaie comme beaucoup, de définir Mizuki : victime oui mais on la sent perdante d'avance, elle accepte,baisse la tête. Et des fois elle nous surprend d'un cri, d'un rire.
J'ai été prise dans l'histoire, le trait de crayon est parfait.
Les jeunes filles sont jeunes, belles et et ça rend le drame plus cruelle. La scène qui déclenche tout est choquante de réalisme et donne envie de vomir.
Pour moi, c'est un premier tome parfait, j'espère ne pas être déçue par les suivants.
