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Critique de gielair


J'avais lu qu'il existait une certaine ressemblance, une certaine parenté littéraire entre Nabokov et Queneau, Perec et compagnie. Je me suis plu dans cette lecture même si elle fut difficile. Nous sommes dans un monde absurde et clos (évidemment, il s'agit d'un prisonnier), mais je n'ai pas vraiment décelé la parenté sus-dite.

Cincinnatus passe de longues heures à se préparer à sa décapitation qui prendra l'allure d'une foire cauchemardesque. Sa détention est pour le moins bizarre et l'univers pénitentiaire encore plus. Tout est faux, tout est faux-fuyant.

Cincinnatus est le personnage principal d'une pièce absurde dont il ne connait ni le texte ni les auteurs. La pièce se joue. La pièce se joue de lui, mais en est-il conscient?
Lien : http://rivesderives.blogspot..
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