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Critique de Moro
J'ai toujours eu du mal à comprendre l'intérêt de mettre un double titre en anglais et en français (pareil pour Silver Spoon)… Peut-être est-ce ici pour souligner que l'action se passe en Angleterre ? On y suit les mésaventures de Monica, au XIXe, qui prenait soin d'Evan, le fils de son maître, jusqu'à la mort de ce dernier. Obligée de retourner à une vie sordide elle se rend compte que la tombe de son ancien maître est vide et embarque à bord du « Berceau des mers » (ou Craddle of the sea donc), un navire à destination des Etats-Unis en compagnie de son petit protégé.
La première chose qui frappe dans ce manga est la beauté du dessin : personnages incroyablement expressifs, décors finement dessinés, superbes bateaux sur le point de s'élancer sur la mer... de plus l'époque industrielle est plutôt bien retranscrite : on sent la misère de la société, la puissance des machines, la fascination pour le voyage… Les personnages ne sont pas en reste, puisque tous sont très bien développés, même le petit Evan qui affiche déjà une certaine force de caractère, la palme revenant à une Monica pleine d'abnégation, de courage, pour retrouver son maître, à la fois pour son propre bien et celui d'Evan. Bon, on n'échappe pas au personnage mystérieux/ténébreux de Louis, qui vient en aide aux jeunes héros un peu malgré lui…
Un petit bémol au niveau du scénario (mis à part les prénoms qui n'ont aucune cohérence, mais bon, les japonais ne doivent pas trop s'y retrouver, parce que un personnage qui s'appelle Louis Mac Farren voilà quoi) : je n'y connais pas grand-chose en navigation mais il me semble difficilement crédible qu'une seule personne (en l'occurrence le pauvre Tony) avec si peu d'expérience s'occupe des machines…
Malgré toutes ses qualités, ce manga m'a laissé un peu mitigée (en vérité je ne suis pas très fan de navigation !), car l'histoire reste trop entourée de mystère pour savoir vers quoi on se dirige vraiment. le « Berceau des mers » semble détenir certains secrets, tout comme le maître de Monica, et Louis lui-même. Mais je suis toutefois prête à me laisser embarquer dans cette aventure avec Monica et Evan, rien que pour voir quelle direction prend ce manga !
La première chose qui frappe dans ce manga est la beauté du dessin : personnages incroyablement expressifs, décors finement dessinés, superbes bateaux sur le point de s'élancer sur la mer... de plus l'époque industrielle est plutôt bien retranscrite : on sent la misère de la société, la puissance des machines, la fascination pour le voyage… Les personnages ne sont pas en reste, puisque tous sont très bien développés, même le petit Evan qui affiche déjà une certaine force de caractère, la palme revenant à une Monica pleine d'abnégation, de courage, pour retrouver son maître, à la fois pour son propre bien et celui d'Evan. Bon, on n'échappe pas au personnage mystérieux/ténébreux de Louis, qui vient en aide aux jeunes héros un peu malgré lui…
Un petit bémol au niveau du scénario (mis à part les prénoms qui n'ont aucune cohérence, mais bon, les japonais ne doivent pas trop s'y retrouver, parce que un personnage qui s'appelle Louis Mac Farren voilà quoi) : je n'y connais pas grand-chose en navigation mais il me semble difficilement crédible qu'une seule personne (en l'occurrence le pauvre Tony) avec si peu d'expérience s'occupe des machines…
Malgré toutes ses qualités, ce manga m'a laissé un peu mitigée (en vérité je ne suis pas très fan de navigation !), car l'histoire reste trop entourée de mystère pour savoir vers quoi on se dirige vraiment. le « Berceau des mers » semble détenir certains secrets, tout comme le maître de Monica, et Louis lui-même. Mais je suis toutefois prête à me laisser embarquer dans cette aventure avec Monica et Evan, rien que pour voir quelle direction prend ce manga !
