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Critique de fredbologsen
Chicago 1969. Je trouve que cela partait bien.
Des cadavres divers retrouvés dans une maison et qui datent de plusieurs années, voire plusieurs dizaines d'années, nous replongeant alors à l'époque d'al Capone, des gangsters, de la prohibition, des rapports entre blancs et gens de couleur, entre flics racistes et ces derniers, coups de calibres et justice expéditifs.
Mais près de 150 pages avant que l'intrigue -bien que le terme ne soit pas approprié, tellement elle est mince- ne démarre; des scènes évoquées trop souvent et dans les mêmes termes, de même que certaines expressions.
Alors, il se laisse lire, mais sans plus.
Et sortant de "Sa majesté des ombres" de Ghislain Gilberti, on comprendra que l'écart sur le fond et la forme font, que peut-être, je n'ai pas apprécié ce roman à sa juste valeur.
Fidèle à mes principes, j'en lirai un autre de cette auteure.
Des cadavres divers retrouvés dans une maison et qui datent de plusieurs années, voire plusieurs dizaines d'années, nous replongeant alors à l'époque d'al Capone, des gangsters, de la prohibition, des rapports entre blancs et gens de couleur, entre flics racistes et ces derniers, coups de calibres et justice expéditifs.
Mais près de 150 pages avant que l'intrigue -bien que le terme ne soit pas approprié, tellement elle est mince- ne démarre; des scènes évoquées trop souvent et dans les mêmes termes, de même que certaines expressions.
Alors, il se laisse lire, mais sans plus.
Et sortant de "Sa majesté des ombres" de Ghislain Gilberti, on comprendra que l'écart sur le fond et la forme font, que peut-être, je n'ai pas apprécié ce roman à sa juste valeur.
Fidèle à mes principes, j'en lirai un autre de cette auteure.
