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Critique de Tapagenocturne
Erika excelle dans son job d'agent immobilier. Séparée de son mari, elle garde de cette union le meilleur : leurs deux merveilleuses filles de 19 ans, Kristen et Annie.
Un matin, un drame la frappe de plein fouet : une de ses filles meurt dans un accident de train. Ce deuil lui fait revoir ses priorités. Chamboule sa vie. Et la plonge dans un profond désespoir, où les remords prennent toute la place. Mais l'éloigne aussi de sa seconde fille, Annie.
Celle qui reste. Toutes deux se rejettent la faute, sans le savoir. Et si j'avais accompagné Kristen ce jour-là. Et si je n'avais pas laissé partir ma soeur ce matin là. Et si....
La culpabilité est le plus lourd des fardeaux, et ce dernier pèse sur le coeur des deux femmes, qui sombrent peu à peu dans le silence, la tristesse et l'amertume.
Jusqu'a cet étrange mail que reçoit Erika, dont le message ne contient qu'une citation, et éveille sa curiosité en même tant que renaît une brindille d'espoir.
Plusieurs ressentis pendant la lecture de ce roman : au début le sentiment d'être projeté dans un deuil que l'on comprend à peine, que l'on survole, que l'on effleure du bout des doigts... c'est paradoxal : on est presque dérouté par le fait de n'être qu'à moitié peiné et celui de se réjouir que ce ne soit pas larmoyant.
Ensuite, l'impression d'abandonner le genre du feel-good pour rentrer dans celui du thriller : la question se pose car le doute se fait dans notre esprit, on suit l'idée d'une des deux femmes, puis des deux, et on espère finalement avec elles. La curiosité se fraye un chemin, et c'est plutôt agréable. Puis le soufflé retombe, et nous voici projeté de nouveau dans le feel-good, un peu perplexe. Sans parfois comprendre les réactions des uns et des autres.
Cependant, les chapitres sont courts, l'alternance de la narration entre la mère et la fille est divertissant et permet de maintenir un rythme de lecture où on ne s'ennuie pas, mais le contenu est lassant, répétitif, et peut-être que trop de thèmes sont abordés pour se concentrer pleinement.
Un matin, un drame la frappe de plein fouet : une de ses filles meurt dans un accident de train. Ce deuil lui fait revoir ses priorités. Chamboule sa vie. Et la plonge dans un profond désespoir, où les remords prennent toute la place. Mais l'éloigne aussi de sa seconde fille, Annie.
Celle qui reste. Toutes deux se rejettent la faute, sans le savoir. Et si j'avais accompagné Kristen ce jour-là. Et si je n'avais pas laissé partir ma soeur ce matin là. Et si....
La culpabilité est le plus lourd des fardeaux, et ce dernier pèse sur le coeur des deux femmes, qui sombrent peu à peu dans le silence, la tristesse et l'amertume.
Jusqu'a cet étrange mail que reçoit Erika, dont le message ne contient qu'une citation, et éveille sa curiosité en même tant que renaît une brindille d'espoir.
Plusieurs ressentis pendant la lecture de ce roman : au début le sentiment d'être projeté dans un deuil que l'on comprend à peine, que l'on survole, que l'on effleure du bout des doigts... c'est paradoxal : on est presque dérouté par le fait de n'être qu'à moitié peiné et celui de se réjouir que ce ne soit pas larmoyant.
Ensuite, l'impression d'abandonner le genre du feel-good pour rentrer dans celui du thriller : la question se pose car le doute se fait dans notre esprit, on suit l'idée d'une des deux femmes, puis des deux, et on espère finalement avec elles. La curiosité se fraye un chemin, et c'est plutôt agréable. Puis le soufflé retombe, et nous voici projeté de nouveau dans le feel-good, un peu perplexe. Sans parfois comprendre les réactions des uns et des autres.
Cependant, les chapitres sont courts, l'alternance de la narration entre la mère et la fille est divertissant et permet de maintenir un rythme de lecture où on ne s'ennuie pas, mais le contenu est lassant, répétitif, et peut-être que trop de thèmes sont abordés pour se concentrer pleinement.
