AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de dannso


Retour à de vieux amis, cela faisait longtemps que je n'avais pas lu Jo Nesbo et retrouvé Harry Hole. Chose faite avec le dernier opus de ses aventures.

J'ai passé un bon moment, en compagnie outre Harry Hole de Leonard Cohen et quelques autres dont la bande son accompagne la lecture. Un roman policier au suspense prenant que j'ai eu du mal à poser.

J'ai beaucoup aimé les deux premiers tiers du livre, un peu moins le dernier contrairement à d'autres lecteurs. J'ai trouvé dans cette dernière partie que les rebondissements et les coups de théâtre étaient un peu trop fréquents. Bien entendu, je n'avais pas deviné qui était le meurtrier, même si j'avais anticipé que ce n'était aucun de ceux trop évidents que l'auteur semble désigner trop facilement.

Harry s'est réfugié à Los Angeles, après l'enquête sur la mort de sa femme (Le Couteau) où il noie son désespoir et ses derniers sous dans l'alcool. La dette contractée auprès de bandits mexicains par une ancienne actrice va le forcer à reprendre du service en Norvège, en tant que Privé embauché pour très cher par le principal suspect dans les meurtres de deux jeunes femmes. Il va s'entourer d'une équipe de bric et de broc, dont le QG se trouve dans la chambre d'hôpital de l'un d'eux.

J'ai beaucoup aimé l'atmosphère créée dans les deux premiers tiers, j'ai aimé que l'action soit lente, j'ai aimé que les personnages et les histoires personnelles, les relations entre eux tous soient quasiment aussi importants que l'enquête elle-meme. Je ne me suis absolument pas ennuyée, l'auteur réussissant malgré cette lenteur à me donner envie de tourner les pages de plus en plus vite.

A tel point que la fin m'a semblé trop rapide, quelques rebondissements superflus. Ce n'est qu'un avis personnel, pour beaucoup c'est exactement l'inverse d'après ce que j'ai lu ici ou là.

Commenter  J’apprécie          6730



Ont apprécié cette critique (67)voir plus




{* *}